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Mais ses pensées se portèrent aussitôt sur la scène épouvantable qui s'était passée dans l'appartement de sa femme. À ce souvenir ses dents se serrèrent, ses doigts se crispèrent, la rage et la douleur mordirent son cœur de leurs dents aiguës... Sa femme, cette admirable créature, la seule qu'il avait aimée de sa vie, son Iza, cette enfant qu'il croyait chaste, pure,

Après avoir longuement réfléchi, il résolut d'attendre un moment propice pour s'occuper de Pierre et de Geneviève... Mordu au cœur par l'amour, il voulait retrouver Iza... Il souffrait de ce qui lui avait été dit, mais il se refusait d'y croire, et puis, allant plus loin, il se dit qu'il ne devait pas être jaloux du passé, qu'il aimait assez Iza pour oublier.

Iza releva la tête; son œil eut un éclair; un sourire d'espoir s'étendit sur ses lèvres, et elle dit lentement: Je voudrais me retrouver, comme il y a un mois, dans un petit hôtel beau, avec les belles tentures, les meubles pleins d'or..., les grands tapis..., les jardins pleins de grandes fleurs rares..., avec des coins de bois pleins d'ombre... Mais je ne voudrais pas y vivre triste, dans la chambre, seule, en attendant le seigneur... Je veux être libre, moi... Je veux n'aimer personne que moi!... Je veux conduire dans une grande calèche, aller au bois, et que les cavaliers m'admirent, et je veux pouvoir rire avec les cavaliers lorsqu'ils se pencheront vers moi pour me parler... Je veux être plus belle, plus brillante... que les belles que j'ai vues et dont ils parlent tous... Voil

Séglin, au comble de la rage, se défendait avec acharnement; on fut obligé de l'attacher pour le descendre; il criait: Arrêtez-la avec moi, au moins... Iza, ne se voyant plus menacée, avait retrouvé tout son calme; elle réparait devant la glace le désordre de sa toilette...

Enfin, vers dix heures, on se retira, et Fernand tout tremblant enveloppait Iza d'une longue pelisse et ne voulait laisser

Fernand assura son oncle du bonheur de son mariage: Iza était un ange, et, sans rire, Rig répondait toujours: Je le savais, je le savais.

Et, en disant ces mots, Iza plongea ses mains dans ses poches, en tira des poignées de pièces d'or, qu'elle fit tomber en cascade sur la table. Georgeo Golesko eut un tressaillement, ses yeux brillèrent et il passa ses doigts sur l'or comme pour le caresser... Tu vois, mon Georgeo, le maître agit bien. Et il me payerait ainsi? Il t'attend... ?

Iza..., Fernand vit: c'est ton mari... Il peut tout contre toi..., et c'est pour en finir avec lui, pour t'en débarrasser

Oui; pourquoi me dis-tu cela? Parce que je n'ai pu empêcher ce qu'il a fait ce matin. Mais qu'a-t-il fait? Les beaux bijoux, les beaux diamants, il a tout volé, maître... tout! Enfin, tant mieux! En entendant ces mots, Iza resta stupéfaite. La même voix dit: Attends une minute, Iza.

Ceci, c'était sa surprise. Mais ce qui l'épouvantait, ce qui le bouleversait, c'était de voir le misérable sortir de la maison résidait la femme de son lieutenant. C'est pour la retrouver qu'il s'était sauvé; son mariage avait été une comédie pour s'enrichir et, en dehors de la belle Iza, il avait continué avec Mme Davenne les relations qui avaient amené la terrible scène de l'inhumation... Ainsi la femme de son lieutenant,