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On disait aussi, dans le quartier, que M. de Lescure était chevalier du poignard: c'était le nom que le peuple avait donné aux défenseurs secrets du roi. Heureusement, on ignorait l'arrivée de M. de Grémion; d'ailleurs nous étions assez aimés dans la rue, parce que nous avions soin de faire prendre toutes les fournitures de la maison dans les boutiques voisines.

Messieurs, en adoptant les mesures que j'ai l'honneur de vous proposer, vous assurerez des existences qui sont devenues sacrées pour le peuple français. Il y a un autre moyen de donner aux défenseurs de Paris un nouveau témoignage de la reconnaissance publique. Parmi les citoyens qui ont survécu

Notre collaborateur L. Sabattier, parti il y a plus d'un mois au-devant des défenseurs de Port-Arthur rentrant en Europe par l'Australien, a fait route jusqu'

Les défenseurs de Louis XVI, Desèze et Tronchet, furent introduits dans l'Assemblée, qui consentit

Mais le fourré avait des défenseurs. A peine en avait-on dépassé la lisière, qu'une voix impérieuse prononça: «Un pas de plus, et nous faisons feu

»O vous, défenseurs de la foi, ô vous adorateurs d'un seul Dieu, qui croyez

À mesure qu'elles se sont répandues, les principes qu'elles contiennent ont été suivis. Cependant la théorie de Franklin ne manqua pas d'abord d'adversaires. L'abbé Nollet fut un de ceux qui la combattirent: mais les premiers physiciens de l'Europe en devinrent les défenseurs; et parmi ces derniers on doit distinguer Dalibard et Beccaria.

M. d'Escorval, dont la cause se trouvait disjointe, ne fut pas appelé. Il devait être interrogé le dernier. Maintenant la parole est aux défenseurs, dit le duc de Sairmeuse, mais abrégeons, abrégeons!... Il est déj

L'empereur a rencontré dans sa marche les gardes nationales de Brest et du Poitou. Il les a passées en revue: «Montrez, leur dit-il, de quoi sont capables les hommes de l'Ouest; ils furent de tout temps les fidèles défenseurs de leur pays, et les plus fermes appuis de la monarchie.» S. M. a passé la nuit du 19 au château de Surville, situé sur les hauteurs de Montereau.

De Gourgues divisa ses troupes en deux colonnes pour l'attaque, et marcha, aidé des Sauvages, contre le premier fort. La garnison qui était de soixante hommes, l'ayant abandonné, tomba entre les deux colonnes, et fut presque toute détruite au premier choc. Le second fort fut pris après quelque résistance de la part de ses défenseurs, qui dans leur fuite furent aussi cernés et taillés en pièces. Le troisième fort, la Caroline, était plus grand que les autres, et renfermait deux cents hommes. Le commandant français ayant résolu de l'escalader, avait disposé des troupes autour de la place, lorsque les assiégés firent une sortie avec 80 arquebusiers, ce qui avança leur perte. On les attira par stratagème loin de leurs murailles, et on leur coupa la retraite. Assaillis de tous côtés, ils furent tous tués après avoir offert la plus vigoureuse résistance. Les soldats qui formaient le reste de la garnison, effrayés, voulurent se sauver dans les bois; mais ils tombèrent aussi sous le fer des Français et des Indiens, excepté quelques uns que l'on réserva pour une mort plus ignominieuse. On fit un butin considérable. Les prisonniers furent amenés au lieu les Français avaient subi leur supplice, et Menendez avait fait graver sur une pierre ces mots: «Je ne fais ceci comme