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Ce livre, intitulé Source de la Science, se compose de trois traités distincts . Le premier est une dialectique ou une compilation fort claire de l'introduction de Porphyre et des Catégories d'Aristote avec une définition générale de la philosophie; le second, un exposé sommaire des diverses doctrines ou hérésies de l'antiquité en matière religieuse, et le troisième, un grand traité de la foi orthodoxe les dogmes fondamentaux sont conçus et traduits dans la forme et la langue de la logique, avec une lucidité et une rigueur que les théologiens de l'Occident ont rarement égalées. L'ouvrage n'a peut-être pas une grande profondeur, ni une véritable originalité. Mais il est écrit avec une précision qui ne manque point d'élégance, et l'auteur y fait, avec une parfaite possession du langage scientifique, l'application de la dialectique au dogme. On ne saurait cependant lui donner pour disciples les premiers de nos scolastiques. Rien n'annonce qu'il leur fût connu. S'il est vrai que la troisième partie de son livre ait été, sous ce titre, de orthodoxa Fide, traduite on latin pour la première fois par ordre du pape Eugène III , ce ne fut qu'après la mort d'Abélard dont les écrits, nous le croyons du moins, ne mentionnent nulle part le nom de saint Jean Damascène. La théologie scolastique est donc née en dehors de l'influence de ce Père; il en a été le précurseur plutôt que le créateur; mais après qu'elle fut venue au monde, il a puissamment influé sur ses destinées; il est devenu une de ses autorités favorites, et on a regardé son traité comme le type du célèbre livre de Pierre Lombard. Aussi a-t-il partagé dans l'opinion du monde le sort des scolastiques. Exalté avec eux, avec eux déprimé, il a mérité que leurs grands adversaires calvinistes fissent un reproche

Les légions romaines, que vous avez quelquefois imitées, mais pas encore égalées, combattaient Carthage tour-

Il y a des grandeurs dans le XVIIe siècle: des établissements, des victoires, des écrivains de génie, des capitaines accomplis, un roi, homme supérieur, qui sut travailler, vouloir, lutter et mourir. Mais les grandeurs sont égalées par les misères. Ce sont les misères que Saint-Simon révèle au public.

Dans une heure, continua-t-il, l'armée se mettra en marche par troupes serrées. Un corps de cavalerie protégera chaque détachement d'infanterie. L'armée s'allongera en une ligne de vingt lieues, qui pivotera et se concentrera sur le Carmen. Tous les chefs incendieront la campagne sur leur passage, afin que la fumée, poussée par le vent, dissimule, comme un épais rideau, nos manoeuvres et notre marche. Les moissons, les estancias et toutes les propriétés des blancs seront brûlées et égalées au sol. Le bétail ira grossir le butin

«Les légions romaines, que vous avez quelquefois imitées, mais pas encore égalées, combattaient Carthage tour

On se souvient encore, dans le pays, de ses grandes chasses, de ses grands démêlés avec ses voisins, de ses grandes démonstrations libérales sous la République, égalées seulement par ses grands enthousiasmes sous l'Empire... Ce n'est pas pour juger mon père que j'expose les griefs de la conscience publique