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Toute la caravane fait honneur au koumiss du boloch, sauf Zurbriggen et moi. Acquiesçant aux incitations réitérées du chef, j'essaie pourtant d'approcher le bol de mes lèvres; mais,

Ce qui excita le plus la curiosité des nomades, ce furent nos chaussures cloutées et la carabine de Zurbriggen. On se la passait de main en main, pendant que d'autres examinaient nos brodequins, en palpant la semelle et en comptant un

C'est un endroit très propice pour l'hivernage. 29 août. Afin de coordonner et clore notre levé topographique, Zurbriggen et moi nous grimpons sur la pointe qui se dresse au sud de notre camp. C'est le point le plus élevé de l'Ichigart-tao, qui sépare les deux vallées d'Irtach et de Djannart.

Aussi, ce n'est pas sans un vif soulagement que j'aperçus sur le quai de la gare de Tachkent la haute stature de don Scipion Borghèse, et la face barbue du guide Zurbriggen, qui me souhaitèrent la bienvenue par de cordiales et chaleureuses poignées de main. Pensez donc! Ils m'attendaient depuis quinze jours.

Zurbriggen, tenant sa bête par les rênes, s'aventure audacieusement sur la pente glacée. D'abord il monte droit devant lui, puis un brusque renflement le contraint d'obliquer

En réalité, c'est une parodie de sentier, car nous avançons avec beaucoup de peine, les cailloux qui jonchent le sol roulant avec une facilité extraordinaire. Zurbriggen, qui nous a devancés, s'est placé en statue équestre sur le haut du bastion. Quand nous parvenons

À trois heures de l'après-midi, le prince, Zurbriggen et moi, accompagnés d'un cavalier kirghize, nous partons pour une excursion. C'est vers l'élégante aiguille d'Oustchiar que nous dirigeons nos pas. À la tombée de la nuit, nous bivouaquons

Nous sommes tous meurtris, et comme désarticulés. Zurbriggen ne peut s'empêcher d'exprimer sa satisfaction. Il nous assure que jamais, dans ses voyages aux Indes, en Australie et dans l'Argentine, il n'a rencontré d'aussi malencontreux véhicules. Le smotrissiel, très obligeamment, nous offre les deux pièces qu'on destine habituellement aux voyageurs.

Pendant qu'on décharge les chevaux, Zurbriggen taille des marches avec son piolet, afin de faciliter l'ascension. Je lui emboîte le pas, tenant mon cheval par la bride. Après une cinquantaine de mètres, je m'aperçois que celui-ci, au lieu de mettre ses pieds dans les creux, préfère marcher

Zurbriggen nous assure en partant que nous déjeunerons au camp. Seulement, il ne prévoit pas la cheminée de glaces, qui nous attend, et ,