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M. H.-C, Watson, auquel je dois d'importants conseils et une aide précieuse sur cette question, m'a bientôtdémontré que je rencontrerais beaucoup de difficultés; le docteur Hooker m'a exprimé la même opinion en termes plus énergiques encore. Je réserve, pour un futur ouvrage, la discussion de ces difficultés et les tableaux comportant les nombres proportionnels des espèces variables. Le docteur Hooker m'autorise

M. Watson objecte aussi que l'action continue de la sélection naturelle, accompagnée de la divergence des caractères, tendrait

Juillet 1751. Je crois que M. Watson a fait

M. H.-C. Watson pense que j'ai attribué trop d'importance

Il n'est pas nécessaire d'entrer dans beaucoup de détails sur sa mort; je remarquerai seulement que si un pauvre radical, tel que Waddington ou Watson, s'était ainsi coupé le cou, on l'aurait enseveli dans un carrefour, avec l'escorte ordinaire d'un pieu et d'une potence. Mais quant au ministre, ce fut un lunatique de bon ton, un suicide sentimental: il se coupa tout simplement «l'artère carotide» (admirez leurs connaissances)! Vite donc la pompe funèbre; l'abbaye; les sanglots de la douleur poussés par les journaux; l'éloge du défunt ensanglanté, prononcé par le Coroner (digne Antoine d'un pareil César), et les propos atroces et nauséabonds d'une poignée de conspirateurs dégradés, contre tout ce que la patrie renferme de sincère et d'honorable. La loi devait trouver dans sa mort de deux choses l'une, ou qu'il était un criminel, ou bien un fou; dans ces deux cas, il n'y avait pas grande matière

62. Nous sommes surpris de lire dans le livre de M. Watson qu'un choc ait été communiqué

The History and Poetry of the Scottish Borders: their main Features and Relations, JOHN VEITCH. Glasgow, James Maclehose, 1878. The Feeling for Nature in Scottish Poetry, by JOHN VEITCH. 2 vols. William Blackwood and Sons, 1887. The Songstresses of Scotland, by SARAH TYTLER and J. L. WATSON, 2 vols. Edinburgh, H. B. Higgins, n. d. London, 1740.

«Je vous prierais de vous informer auprès du major Watson, qui a résidé long-tems dans les Indes, quels sont les objets dont il est le plus nécessaire d'être pourvu. J'ai déj

Alors, vous convenez que les honorables sir Watson et Swift n'étaient pas des imbéciles? fit

Le commodore Simcoë n'a aucune autorité sur eux. Ils obéissent aux mêmes passions que les Tribordais et les Bâbordais. Fidèles serviteurs de leurs chefs, MM. Watson et Somwah tiendront jusqu'au bout, machine contre machine, dynamos contre dynamos... Et, alors, se produit un phénomène dont le désagrément aurait calmer les têtes en amollissant les coeurs.