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En ménage et À vau l'eau marquent un nouveau progrès de la tristesse méprisante de M. Huysmans. L

Quant le mois de février approcha, le roy Phelippe semont ses hommes, et assembla de rechief son ost pour entrer en Normandie. La cité d'Evreux prist, le Neufbourg, le Vau de Rueil et maintes autres forteresses soubmist

Puis ces deux oeuvres, d'importance et de valeur très inégales (car En ménage est par endroits un beau livre, tandis que le charme spécial d'À vau l'eau, très vanté par quelques-uns, m'échappe encore), se distinguent par une bassesse volontaire de conception M. Huysmans n'avait pas encore atteint. Je dis «bassesse» en me conformant sans y songer

»Jeanne, fille naturelle d'Anne Béqus, dit Quantiny, est née le dix-neufième aoust de l'an mil sept cent quarante-trois, et a été baptisée le même jour. Elle a eu pour parain Joseph Demange, et pour maraine Jeanne Birabin, qui ont signé avec moy. »Les signatures sont ainsi apposées sur l'acte: »Janne Birabine. L. galon, vic. de Vau. »Joseph Demange.

Dans À vau l'eau le sujet est encore plus vil: c'est l'histoire d'un monsieur en quête d'un bifteck mangeable. M. Folantin, employé dans un ministère, cherche un restaurant, un bouillon, une pension, un établissement quelconque l'on puisse manger convenablement. Il se fait apporter ses repas de chez un pâtissier, et c'est aussi mauvais.

Il est un hôte dur, mais je l'honore, et je ne prie pas le dieu ventru du feu, comme font les efféminés. Il vau encore mieux claquer des dents que d'adorer les idoles! telle est ma nature. Et j'en veux surtout