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Autrefois, il y avait en Europe des littératures dominantes; la nôtre a été presque universelle. Elle est peut-être encore aujourd'hui la plus répandue. Nous fournissons de drames et de comédies les scènes des capitales, mais notre art dramatique, s'il a de la force, de la finesse et de la grâce, est moins impersonnel qu'autrefois: il est plus varié, plus français et plus parisien. Il y a, dans le monde, une grande circulation de romans, mais le roman renonce aux thèses générales pour observer l'immédiat et le réel. Nous nous délectons

Il y eut une assemblée générale des pontifes; et il fut décidé qu'on chargerait les meilleures plumes de prouver en forme que l'événement était surnaturel, et qu'en attendant l'impression de leurs ouvrages, on le soutiendrait dans les thèses, dans les conversations particulières, dans la direction des âmes et dans les harangues publiques.

Le chevalier abbé, la fleur de Saint-Sulpice, qui y a passé de si belles thèses, n'a pas perdu son temps. Il connaît ces fins fonds mystiques, tout ce que la théologie peut prêter

Ce fut ainsi qu'il se prononça contre la peine de mort. L'abolition fut une des thèses favorites des générations évoluant de 1830

Pour la dissimuler au regard des lecteurs moins attentifs, il suffira de ne jamais mettre en présence les deux thèses contradictoires, mais de s'en servir tour

La légitimité, l'empire, la fusion, l'excellence de la monarchie sur la république, les thèses philosophiques qui sont grosses de barricades, le choix entre les prétendants, voil

C'est pour n'avoir pas compris cette corrélation progressive, ce parallélisme du développement de l'Etat et de celui de l'individu que de Laveleye et M. Herbert Spencer ont défendu des thèses politiques absolues, également inadmissibles et que les événements sociaux démentent journellement leurs théories.

» Vous êtes mille fois trop bonne, madame; oh! point de médecin! jamais de médecin avec moi!... Je sais parfaitement me soigner, m'ordonner moi-même ce qu'il me faut... J'ai suivi quelques cliniques,... des cours;... j'ai même fait des ouvrages sur la médecine, j'ai eu des thèses couronnées;... enfin je n'ai besoin de personne. D'ailleurs j'ai une santé de fer;... et puis ces blessures ne sont pas dangereuses... Par exemple, cela pourra être long

Non, mais simplement paresseux. Ils ne se donnent pas la peine de choisir leurs maîtresses. Les plus aimées sont les plus menteuses. Que si, insinua Phrasilas, que si d'une part je louerais volontiers...» Et il soutint avec un grand charme deux thèses dépourvues de tout intérêt.

L'union de l'âme et du corps est donc bien le sujet principal de ce second volume. Il est bon de le souligner et d'en avertir le lecteur, qui ne s'en douterait guère après l'avoir lu en entier, tellement est exiguë la place qui lui est consacrée. La thèse principale y est tellement noyée dans les thèses accessoires qui la précèdent ou l'accompagnent qu'elle risque de devenir