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Ah! prince! fit le bossu d'un ton pénétré; c'est le supplice de Tantale que j'endure!... une petite maison! mais je la devine, avec ses issues dérobées, son jardin ombreux, ses boudoirs le jour pénètre plus doux

C'était le supplice de Tantale: je n'avais pas d'eau sous les yeux, mais je l'entendais sans cesse battre les flancs du navire; de l'eau de mer, j'en conviens, je n'aurais pas pu la boire, quand même elle eût été

Eh! eh! ne trouves-tu pas que l'atmosphère qui entoure la Terre affecte les teintes tricolores de l'écharpe dudit officier municipal!... c'est le supplice de Tantale. Grandeur comparée du Soleil vu de Mercure et vu de la Terre. Et il ajouta: Nous avions déj

«Ces roses de ces lèvres, comme les pommes de Tantale, s'avancent et se retirent; l'Amour seul y reste avec son dard et ses torches pour vous blesser et vous consumer

C'est, hélas! nous faire éprouver l'affreux supplice de Tantale; c'est nous condamner

Charlotte coula un coup d'œil vers son mari. Il était debout au fond de la loge; son regard était posé sur Claude. Et elle pensa, rageuse: Eh bien, qu'il la contemple!... C'est tout ce que je lui accorderai d'elle, ce soir! S'il espérait plus, je vais lui infliger un bon petit supplice de Tantale!...

Vous vous rappelez cette description le sévère Nicolas, après avoir tonné, dans son Art poétique, contre «le burlesque effrontéfinit par céder au torrent et par y tremper un peu sa perruque: «Prométhée a son vautour sur le poing, Tantale est ivre comme une soupe, Ixion a violé une furie, et Sisyphe est assis sur son rocher

Jadis la fille de Tantale Se durcit en rocher sur les monts de Phrygie; Jadis la fille de Pandion, changée en hirondelle, Eut des ailes d'oiseau. Pour moi, que ne suis-je ton miroir! Tes yeux me fixeraient sans cesse; Ta tunique! Tu me porterais toujours; L'eau de ton bain! Je laverais ta blanche peau; Une essence! Je te parfumerais, ô femme; Et la ceinture de tes seins, Et la perle qui brille

Et assurément, elle estimait la proposition séduisante... Courir les magasins de nouveautés, même quand on ne peut ou qu'on ne veut rien acheter, est un petit supplice de Tantale très

Tout est donc fini cette année pour nous autres, pauvres citadins, qui, dans le cercle monotone de nos occupations, ne savons plus distinguer les saisons. Il nous faut assister au départ de tous, petits et grands, amis et indifférents; mais, non, il n'y a même pas d'indifférents quand l'heure du départ a sonné. Qui de nous n'a pas suivi d'un oeil de regret la voiture qui emporte l'heureux voyageur, en enviant son sort, en maudissant le sien? Qui n'a pas subi ce supplice de Tantale, ces désirs infinis qui s'accroissent par l'impuissance? voir partir et rester; sentir de loin les fraîches émanations de l'églantier qui borde les routes, et se retrouver près des arbres rabougris des quais; avoir des ailes