United States or Bahamas ? Vote for the TOP Country of the Week !


Alors Zarathoustra retourna dans les montagnes et dans la solitude de sa caverne pour se dérober aux hommes, pareil au semeur qui, après avoir répandu sa graine dans les sillons, attend que la semence lève. Mais son âme s'emplit d'impatience et du désir de ceux qu'il aimait, car il avait encore beaucoup de choses

Toutefois le Semeur ne publia rien. J'ignore pour quelle raison. Je suppose qu'il avait de la copie en abondance et sur des sujets plus actuels que Delphine ou l'Allemagne. Ce qu'il y a de sûr c'est que M. Lutteroth appréciait vivement les pages que Vinet lui adressait. Il songea même,

Pendant que, déployant ses voiles, L'ombre, se mêle une rumeur, Semble élargir jusqu'aux étoiles Le geste auguste du semeur.

Paris est un semeur. sème-t-il? dans les ténèbres. Que sème-t-il? des étincelles. Tout ce qui, dans les intelligences éparses sur cette terre, prend feu ça et l

M. Lutteroth ne se mit point en quête de l'éditeur que souhaitait Mme Vinet. D'autre part on chercherait vainement dans le Semeur «les fragments» que Vinet eût été heureux d'y insérer. Une lettre de Vinet

Alors le semeur arpente le champ du haut en bas, pendant que derrière lui le gamin rieur écarte de ses cris aigus la troupe noire et pillarde des corbeaux. Alors le châtaignier déploie toute sa gloire, et sur le gazon tombe le flot parfumé des fleurs

Le Semeur du 18 août 1832 contient un article de philosophie religieuse sur «le christianisme de M. de Chateaubriand dans ses

M. Henri Lutteroth est le rédacteur en chef du journal protestant qui a pour titre le Semeur et qui occupe un rang honorable dans la presse parisienne. Mais il le déclare dès le début, et nous ajoutons une foi entière

En vain pour moi, les primevères fleurissent, En vain pour moi, poussent les violettes, En vain pour moi, dans les glens ou les bois, Chantent le mauvis et le linot. Gaiement, le garçon de charrue anime son attelage, Avec joie le semeur attentif chemine, Mais la vie est pour moi un rêve fatigant, Le rêve de quelqu'un qui ne s'éveille jamais.

Un semeur jetait largement le froment, suivi d'une nuée d'oisillons; un jardinier tondait les charmilles du château; l'église était rajeunie, prenait un bain d'or; deux chiens, fous, tournaient vertigineusement autour d'une cabane; et sur une déclivité, Henri IV, radieux, élaguait des arbres, chantait largement, sa riche nature toute retentissante de la vibration solaire.