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Ni lui ni nos économistes modernes, ne mentionnent la première crise de Law (en juillet 1719), lorsque la coalition de Duverney et des agioteurs anglais faillit le faire sauter (p. 165), lorsque Law fut trahi par son agent, etc. La seconde crise est la fin de septembre 1719, le moment solennel de la grande razzia, la résistance que Law essaya d'y opposer pendant trois jours. Il est fort curieux de voir comment chacun a jugé cette affaire. Les sources principales sont les Arrêts, les récits de Du Hautchamp et Forbonnais. Rien dans Noailles. Un mot dans Dutot, p. 912, éd. Daire. Peu ou rien dans Duverney, qui voudrait bien écraser Law, mais d'autre part, craint de trop éclaircir, pour l'honneur de M. le Duc. Rien dans Barbier. Peu ou rien dans Lemontey. Thiers (Encycl., 81), partout ailleurs si lumineux, n'est ici ni clair ni sévère; il appelle ce filoutage «un défaut de précautionDaire, net et fort, très-incomplet, p. 459. Peu dans Louis Blanc, I, 299. Peu dans Henri Martin, 4e édition, XV, 51. Rien dans le Dubois de M. Seilhac. Le meilleur incontestablement est M. Levasseur; seulement, son livre, exclusivement économique, omet, laisse dans l'ombre, les côtés sociaux qui éclaireraient l'économie elle-même. Je dois aux recherches ultérieures et récentes qu'il a faites aux Archives ce fait si important que j'ai donné (p. 188), que la Compagnie, c'est-

[Note 4: Deux écrivains se sont imposé de nos jours la tâche de réhabiliter Dubois. À les en croire, tous les contemporains s'y étaient trompés, l'avaient calomnié. Les modernes aussi. Le très-exact et très-fin Lemontey, qui écrit aux Archives des Affaires étrangères, et devant les pièces, a partagé l'erreur commune, M. de Carné , et M. de Seilhac , rendent