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Nous ferons de même, et nous répondrons au journaliste malin qui constate que telle leçon n'y a duré qu'un quart d'heure, que dans ces cours, au moins, on n'avait pas le temps de s'ennuyer .

Nous lui répondrons incessamment entre deux Entretiens littéraires, ou même dans un des Entretiens littéraires que nous publions; car M. Pelletan, qui parle comme Platon, a le droit de rêver comme lui de beaux rêves. Mais nous, hélas!... il y a longtemps que nous sommes réveillé!... Nous croyons plus beau et plus viril de regarder en face le malheur sacré de notre condition humaine que de le nier ou d'en assoupir en nous le sentiment avec de l'opium. Ce suc de pavots, quelque bien apprêté qu'il soit, et M. Pelletan l'apprête en grand poëte, n'est bon qu'

PORTIA. Il est bientôt jour, et cependant je suis sûre que vous n'êtes pas encore pleinement satisfaits sur ces événements. Entrons; attaquez-nous de questions, et nous répondrons fidèlement

A ces fictions galantes nous répondrons tout de suite, quitte

Ainsi nous répondrons

À ceux qui nous objecteraient que l'on ne peut concevoir une Confédération orientale sans la ville de Constantinople qui s'impose comme capitale, nous répondrons que les divers peuples de la péninsule italique ont bien su autrefois se réunir et se reconstituer en royaume, sous le sceptre de Victor-Emmanuel II, en établissant pour commencer leur capitale

Ne tirez aucune conséquence de tout ceci, de peur que vous ne disiez que votre reine et moi nous sommes de mauvais anges. Et pourtant, poursuivez: nous répondrons des fautes que nous vous avons fait commettre, si vous avez fait votre premier péché avec nous, et que vous avez continué de pécher avec nous, et que vous n'ayiez jamais trébuché qu'avec nous. L

Tels étaient les motifs de l'opinion de M. Lesueur. Quant aux faits cités en preuves, on ne peut rien leur opposer; si l'illustre maître avait publié son grand ouvrage sur la musique antique, avec les fragments dont nous avons parlé plus haut; s'il avait indiqué les sources il a puisé, les manuscrits qu'il a compulsés; si les incrédules avaient pu se convaincre par leurs propres yeux, que ces harmonies attribuées aux Grecs nous ont été réellement léguées par eux; alors sans doute M. Lesueur eût gagné la cause au plaidoyer de laquelle il a travaillé si longtemps avec une persévérance et une conviction inébranlables. Malheureusement il ne l'a pas fait, et comme le doute est encore très-permis sur cette question, nous allons discuter les preuves de raisonnement avancées par M. Lesueur, avec l'impartialité et l'attention que nous avons apportées dans l'examen des idées de ses antagonistes. Nous lui répondrons donc: Les plains-chants que vous appelez barbares ne sont pas tous aussi sévèrement jugés par la généralité des musiciens actuels; il en est plusieurs, au contraire, qui leur paraissent empreints d'un rare caractère de sévérité et de grandeur. Le système de tonalité dans lequel ces hymnes sont écrites, et que vous condamnez, est susceptible de rencontrer fréquemment d'admirables applications. Beaucoup de chants populaires, pleins d'expression et de naïveté, sont dépourvus de note sensible, et par conséquent écrits dans le système tonal du plain-chant. D'autres, comme les airs écossais, appartiennent

A ceci nous répondrons qu'

Nous répondrons pour Vanni, qui ne répondit point: Celui qui dans un gouvernement faible et despotique dit: Mon roi, doit nécessairement l'emporter sur celui qui dit seulement: Notre roi.