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ROYOU. Rédacteur de l'Ami du Roi, mis en accusation. SAINT-HURUGUES. Ancien marquis, détenu
Je ne puis passer sous silence le reproche que me font M. de Bouillé, dans ses Mémoires, et M. Royou, dans son Histoire de France, lorsqu'ils prétendent que l'opiniâtreté que j'ai mise
«Il existe, il est vrai, dans la députation de Paris, un homme dont les opinions sont pour le parti républicain ce qu'étaient celles de Royou [Note: Pamphlétaire royaliste qui s'était rendu ridicule par ses extravagances et de ses violences.] pour le parti aristocratique; c'est Marat. Assez et trop longtemps on m'a accusé d'être l'auteur des écrits de cet homme. J'invoque le témoignage du citoyen qui vous préside (Pétion). Il tient, votre président, la lettre menaçante qui m'a été adressée par ce citoyen; il a été témoin d'une altercation qui a eu lieu entre lui et moi
L'enfant n'avait que dix ans, et ce furent son oncle Royou et l'abbé Geoffroy qui rédigèrent le journal, tout en lui attribuant une partie du produit. Bercé par le souvenir des souffrances de son père, il avait pris, tout jeune encore, la société en haine. Le hasard fit qu'il fut
Dans cette rue était encore: le collége d'Autun, fondé en 1348 et transformé en 1767 en école gratuite de dessin; la maison du président Lecoigneux, «l'une des plus belles de Paris, dit Tallemant, mais depuis on a bien raffiné.» Au nº 38 a demeuré l'écrivain royaliste Royou; au nº 40, Billaud-Varennes.
Décrété récemment avec Royou, l'Ami du roi, il s'était caché chez un avocat obscur et misérable qui lui avait donné asile. Barbaroux fut appelé auprès de lui. Barbaroux s'était livré
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