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FILIPPO. Personne. Est-ce que cela s'apprend? Depuis que je pense, je reproduis ainsi tout ce que je vois sans savoir comment. Mais ce qui me tourmente, c'est de ne pouvoir donner des couleurs

Trois idées politiques étaient, en 1789, professées et répandues: idées confuses et obscures dans la plupart des esprits, mais au fond dominantes. Je les reproduis telles qu'elles ont été exprimées, sous leur forme la plus simple et la plus franche: «Nul n'est tenu d'obéir aux lois qu'il n'a pas consenties; le pouvoir légitime réside dans le nombre; tous les hommes sont égauxBeaucoup de ceux qui pensaient et agissaient d'après ces maximes auraient été fort étonnés si quelque puissance supérieure les avait contraints de s'en rendre bien compte et d'accepter leurs conséquences obligées; mais ils n'y regardaient pas de si près et n'y voyaient pas si clair. Les plus puissantes idées sont celles qui, contenant ensemble et confusément une large part de vérité et une large part d'erreur, flattent

Sur ces entrefaites, tout en poursuivant mes recherches dans les archives des Porhoët, j'avais mis la main, deux mois environ avant mon départ du château, sur une pièce singulière dont je reproduis ici le texte littéral:

Ayant pris l'habitude de dater l'achèvement de chaque esquisse, je reproduis ces dates ici: Ier juin. L'introduction du prologue. Le récitatif et l'air du Printemps. 3. La suite, jusqu'

Une revue importante a publié sur ce sujet une lettre d'un industriel du nord de la France dont je reproduis l'extrait suivant: Il est désolant de voir, dans un arrondissement qui a été si vivant au point de vue industriel et qui possède de grandes ressources, que la bourgeoisie se désintéresse de plus en plus des affaires pour les places administratives.

Les Pingouins restèrent longtemps belliqueux. Un des leurs, Jacquot le Philosophe, a dépeint leur caractère dans un petit tableau de moeurs que je reproduis ici et que, sans doute, on ne verra pas sans plaisir: «Le sage Gratien parcourait la Pingouinie au temps des derniers Draconides. Un jour qu'il traversait une fraîche vallée les cloches des vaches tintaient dans l'air pur, il s'assit sur un banc au pied d'un chêne, près d'une chaumière. Sur le seuil une femme donnait le sein

Voici d'autres témoignages de soldats, moins connus, mais non moins émouvants. Aucun n'est inédit. Je me suis fait une loi de n'user, pendant la guerre, d'aucune confession orale, ou écrite, que j'aie personnellement reçue. Ce que mes amis, connus ou inconnus, me confient, est un dépôt sacré, dont je ne ferai emploi que s'ils me le permettent, et quand les conditions le leur permettront. Les témoignages que je reproduis ici ont été publiés

L'édition de 1833 (tome II, page 339) donne également cette épitaphe d'un amant ou d'un époux, que je reproduis, en y ajoutant les lignes de prose qui éclairent le dessein du poëte: Mes mânes

Je reproduis ici le récit que le Rappel en a fait en son numéro du 14 janvier 1909, sous le titre: Un miracle dans les décombres. Ce rapport est le plus bref. Le récit donné par le Matin du 10 janvier est plus circonstancié. C'était durant le dernier tremblement de terre de Messine.

[Note 88: C'est une rétractation partielle, une rectification de ce que j'avais écrit précédemment dans un article du Globe, dont je reproduis ici le début: «Il y a dans Werther un passage qui m'a toujours frappé par son admirable justesse: Werther compare l'homme de génie qui passe au milieu de son siècle,