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Bien heureuse celle qui meurt sous le ciel du théâtre. Dès que les actrices ne sont plus dans le riant cortège, dès que les amours s'en vont, la fortune rebrousse chemin.

Oscar dérouté et las du repos même qu'il avait pris, car il en sentait mieux sa fatigue, rebrousse chemin. Alors le soleil lui donna en plein dans la figure, sans chapeau, sans quelques larges feuilles pour cacher un peu sa tête qui bout comme au milieu de la chaudière de midi; c'est

Tout autre que Meaulnes eût immédiatement rebroussé chemin. C'était le seul moyen de ne pas s'égarer davantage. Mais il réfléchit qu'il devait être maintenant fort loin de la Motte. En outre la jument pouvait avoir pris un chemin transversal pendant qu'il dormait. Enfin, ce chemin-l

Sur cette observation, on avait rebroussé chemin jusqu'

Cependant Gavroche, qui avait éperdument rebroussé chemin, s'arrêtait

Le coupé avait rebroussé chemin, descendant la rue de Londres, traversant la place de la Trinité. L

Afin de donner le change aux sauvages, Dubreuil va d'un côté, d'un autre, rebrousse un instant, pour reprendre une direction nouvelle, il descend un vallon, franchit une colline, contourne une éclaircie, escalade une pointe de rocher, plonge dans une gorge et s'arrête

«Amis, dit-il, Ogly le Danois et ses compagnons doivent être maintenant en route, par des voies nul n'a rebroussé chemin, vers la demeure qu'Héla, la sombre déesse, habite au-dessus des neuf mondes . Nous, demain, au lever du soleil, si les dieux permettent que le soleil se lève demain comme les jours précédents, nous boirons la bière des funérailles en l'honneur des braves qui nous ont quittés, et le plus brave de tous, celui qui gît ici sur ce pont, la face trouée par la flèche de feu

À ce signal le roi avait rebroussé chemin et avait disparu. Aussitôt de Mouy, enfonçant les deux larges molettes de ses éperons dans le ventre de son cheval, avait pris la fuite, et tout en fuyant avait jeté les paroles d

J’avais passé Villiers, et je commençais de monter la longue côte boisée, quand je vois sur la pente une carriole qui venait, et dedans le père Jojot, le meunier de Moulot, qui, me reconnaissant, s’arrête, lève son fouet, et crie: Mon pauvre gars! Ce fut comme si je recevais un coup dans l’estomac. Je restais, bouche bée, sur le bord de la route. Il reprend: tu vas? Rebrousse, mon Colas!