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[Note 180: E comune opinione, dit le Quadrio, che il verso sciolto piano fosse nella volgar poesia introdotto da Giorgio Trissino. (Stor. e Rag. d'ogni Poesia, t. III, p. 420.) Le même auteur avoue que d'autres en attribuent l'invention

Le nombre des poëtes en langue vulgaire était encore plus considérable que celui des poëtes latins; mais il y en a peu qui aient mérité, par l'intérêt de leur vie ou par la bonté de leurs vers, que l'on en garde le souvenir. Je ne parle point d'un grand nombre de seigneurs italiens qui ne se contentèrent pas de protéger les poëtes, et qui poétisèrent eux-mêmes. Le Crescimbeni et le Quadrio rangent dans cette classe la plupart des petits princes de ce temps-l

Andrès, ub. supr. On aperçoit dans la poésie des Troubadours les traces de cette filiation, et l'on n'y voit aucuns vestiges de la poésie grecque ou latine. La rime, l'un des caractères qui distinguent le plus la poésie moderne de l'ancienne, paraît nous être venue des Arabes par les Provençaux. Deux savants Français, Huet et Massieu , le Quadrio chez les Italiens , et une foule d'autres auteurs l'ont reconnu. Ce n'est pas que cette opinion n'ait eu des contradicteurs, parmi lesquels Lévêque de la Ravaillière, la Borde, et l'abbé le Bœuf, peuvent faire autorité. Les uns attribuent l'invention de la rime aux Goths; d'autres aux Scandinaves; quelques uns veulent qu'elle soit venue des vers latins rimés, et de ceux qu'on appelle léonins. Il sera toujours difficile de juger définitivement la question. Voici, en attendant,

Traité de la format. mécan. des Langues, c. 9, n°. 162. C'est aussi le premier qui, en raison de sa patrie, ait eu le surnom d'Aretino. Voyez ses Lettres, liv. VI, Epist. 10. Prose, liv. Entre autres le Quadrio Stor. d'ogni poesia, t. I, p. 41. Verona illustr., p. I, liv.

[Note 101: M. de Tressan. (loc. cit.) dit que ce fut en 1547; d'où il lire la conséquence que d'Herberay, qui publia la première partie de sa traduction en 1540, ne l'avait point faite d'après le travail de Montalvo; mais il se trompe: le Quadrio ne cite pas seulement cette édition espagnole de 1525, mais une autre

On a cru long-temps que cette paraphrase n'avait point été imprimée, et Crescimbeni n'en parle que comme d'un ouvrage resté en manuscrit. Stor. della vulg. poës., v. I, l. VI, p. 402. Elle avait été cependant publiée dans un volume in-4°., étaient réunis quelques autres écrits de piété, sans date, ni nom d'imprimeur, mais que le Quadrio,