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Ah! votre guide mentionne l'existence d'un pont?... répliqua Kéraban, qui, fronçant les sourcils, regardait en face son ami Van Mitten. Oui ... ce fameux pont ... dit en balbutiant le Hollandais.... Vous savez bien ... le Pont-Euxin ... Pontus Axenos des anciens....

Souvent aussi les flottes répandaient la désolation sur les côtes ennemies, et, revenant chargées de butin, rapportaient plus qu'elles n'avaient coûté. Lorsqu'elles pouvaient s'emparer du détroit de l'Hellespont , elles exigeaient de tous les vaisseaux qui faisaient le commerce du Pont-Euxin le dixième des marchandises qu'ils portaient, et cette contribution forcée servait

Ce n'était pas un empire, mais une multitude de peuples. On y parlait vingt-deux ou vingt-cinq langues différentes. Royaume de la mer, «le Pont-Euxin, qui lui donnait son nom, lui donnait aussi son unité».

Pour connaître un peuple, ce qu'il faut avant tout connaître: c'est sa langue. Or, personne en France ne connaissait alors celle des Serbo-Croates. L'ignorance, d'ailleurs partagée par l'Europe entière de cette époque, devait être absolue, même en 1765, lorsque l'on publia, en tête des Observations historiques et géographiques sur les peuples barbares qui ont habité les bords du Danube et du Pont-Euxin , la curieuse Dissertation sur l'origine de la langue sclavonne prétendue illyrique, par M. de Peyssonnel, de l'Académie des Inscriptions. M. de Peyssonnel ne connaissait pas la langue dont il étudiait les origines, mais l'Académie (

C'est un beau spectacle que la vue du Pont-Euxin; le port de Constantinople est le plus beau havre du monde, et pourtant je ne puis m'empêcher de croire qu'une vingtaine de vaisseaux de ligne, quelques-uns de cent quarante canons, ne contribuassent encore

Il n'avait guère alors plus de huit ans. 5. Les vents bouleversaient le Pont-Euxin, et les vagues se brisaient, en écumant, sur les Symplegades . C'est un grand spectacle, quand on le considère du tombeau du Géant et tout

L'Asie-Mineure s'avance comme un immense promontoire entre le Pont-Euxin et la mer de Chypre. La chaîne du Taurus couvre ses côtes méridionales de hautes montagnes, repaire dans tous les temps de populations insaisissables et toujours prêtes

D'autres Goths ou d'autres Scythes, jaloux des richesses que leurs voisins avaient amassées, équipent des navires pour commettre de semblables brigandages, et se servent pour ouvriers d'une quantité de prisonniers et d'autres gens que la misère avait réunis autour d'eux. Ils partent des bouches du Tanaïs et voguent le long du rivage occidental du Pont-Euxin, en même temps qu'une armée de terre marche de concert avec la flotte. Ils franchissent le Bosphore, abordent en Asie, prennent Chalcédoine, ils trouvent de l'argent, des armes et des approvisionnements en abondance. Ils entrent ensuite dans Nicomédie, les appelait le tyran Chrysogonas; de l

On déroula lentement la carte, se flattant encore d'une vaine espérance! Hélas! l'encrier était vide! La carte était inondée, et les jolis petits souverains peints en miniature voguaient littéralement sur une mer plus noire que le Pont-Euxin.

La nouvelle d'un triste désastre vint troubler la joie du succès. La guerre civile dans la métropole mettait aux mains les Génois des deux factions dans toutes leurs colonies, et partout ils habitaient, le parti le plus faible était chassé par le plus fort et cherchait partout des appuis1. Le gouvernement guelfe avait armé une flotte contre les colonies de Galata et de la Crimée restées gibelines et même contre l'empereur grec qui les protégeait. Dix galères étaient parties, on n'en vit revenir que trois, fugitives et ayant perdu leurs chefs. On avait couru les côtes de la Romanie, pris et brûlé des navires; on avait pénétré dans le Pont-Euxin et menacé les établissements de cette mer. Mais ceux de Péra, aidés par les Grecs, avaient armé pour la défense des comptoirs et pour réprimer les insultes des adversaires. Sur cette nouvelle les capitaines guelfes avaient recherché asile et assistance chez le Tartare Zalabi, seigneur de Sinople2, voisin jaloux des colonies génoises. Ce prince reçut favorablement leurs ouvertures et leur visite. Il fut prompt