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A... est âgé de vingt-trois ans, fort au physique, proprement mis et de manières décentes. Crâne un peu progeneum. Atteint de pneumonie chronique

«Tu ne guériras jamais si tu ne les écoutes pas et si tu ne prends pas régulièrement tes pilules, lui disait-elle, avec un ton d'impatience qui lui faisait oublier son chagrin. Il ne faut pas plaisanter avec ton mal, qui peut, tu le sais, dégénérer en pneumonie!...» Et la comtesse trouvait une sorte de consolation

Les maladies régnantes ont été jusqu'ici de nature catarrhale; plusieurs n'ont été attaqués que d'un rhume simple, d'autres, de pneumonie catarrhale. Les boissons chaudes, adoucissantes, les vésicatoires sur la partie, et les expectorants un peu forts vers la fin de la maladie ont été les remèdes le plus généralement employés. J'ai perdu quelques malades attaqués de dysenteries anciennes, et que les fatigues d'une longue route, et l'humidité, avaient réduits

Quant aux affections accidentelles qui surviennent chez le vieillard, et qui compromettent son reste de vie, elles sont peu nombreuses, et font, néanmoins, beaucoup de victimes. La plus importante de toutes est la pneumonie. C'est, très souvent, une pneumonie d'origine grippale: aussi ne saurait-on trop soigner la grippe dès son début, chez le vieillard plus encore que chez l'adulte. La pneumonie est insidieuse chez le vieillard. Elle ne se traduit que par un malaise général, avec très peu de phénomènes pulmonaires, mais elle s'accompagne toujours de fièvre. Si donc les familles savaient se servir du thermomètre, on aurait des chances de porter secours aux malades en temps utile; et alors une injection de cacodylate de gaïacol, quelques cachets de quinine, une certaine dose de cognac ou de vin très généreux, parviendraient, dans bon nombre de cas,

Des maladies de même, dit-il, qu'on ne sait pas bien ce que c'est, c'est plus bâdrant pour un médecin qu'une affaire grave. Ainsi la pneumonie, ou bien la fièvre typhoïde; les trois quarts des gens de par icitte, hormis qu'ils meurent de vieillesse, ce sont ces deux maladies-l

Cela dura huit jours la pneumonie put

La pression sur cet endroit lui cause une douleur qui s'irradie dans la branche inférieure du trijumeau. Souvent même il s'y produit spontanément des douleurs. Dans sa jeunesse, il avait souvent des syncopes. Avant l'âge de puberté, pneumonie rhumatismale et inflammation d'intestins. Dès l'âge de sept ans, il éprouvait une sympathie étrange pour les hommes, notamment pour un colonel. À l'aspect de cet homme, il sentait comme un coup de poignard dans son coeur; il embrassait le sol le colonel avait mis le pied. À l'âge de dix ans, il tomba amoureux d'un député du Reichstag. Plus tard encore, il s'enflammait pour des hommes, mais cet enthousiasme était purement platonique. À partir de quatorze ans, il se masturbait. À l'âge de dix-sept ans, il avait ses premiers rapports avec des femmes. Avec l'habitude du coït normal disparurent les anciens phénomènes d'inversion sexuelle. Dans sa jeunesse il se trouvait dans un état particulier de psychopathie aiguë qu'il désigne lui-même comme une «sorte de clairvoyance». À partir de l'âge de quinze ans, il souffrit d'hémorroïdes avec symptômes de plethora abdominalis. Après l'abondante hémorragie hémorroïdale qu'il avait régulièrement toutes les trois ou quatre semaines, il se sentait mieux. En outre il était toujours en proie

Quant aux autres affections accidentelles: rhumatismes, pneumonies, etc., dans quelle mesure créent-elles, de toutes pièces, la «maladie»? Nous pensons qu'elles ne la créent jamais, et qu'elles ne font que l'aggraver: car, toujours la «maladie» préexistait. Pour contracter un rhumatisme, une pneumonie, une angine, il faut déj

Mais il y avait surtout la salle des damnés, de ceux qui étaient frappés de dysenterie, de typhus, de variole. Beaucoup avaient la variole noire. Ils se remuaient, criaient dans un délire incessant, se dressaient sur leur lit, debout comme des spectres. D'autres, touchés aux poumons, se mouraient de pneumonie, avec des toux affreuses. D'autres, qui hurlaient, n'étaient soulagés que sous le filet d'eau froide, dont on rafraîchissait continuellement leurs blessures. C'était l'heure attendue, l'heure du pansement, qui seule amenait un peu de calme, aérait les lits, délassait les corps raidis

Quelques instants après, le docteur vint m'ausculter et déclarait qu'il n'y avait plus aucune trace de la pneumonie qui m'avait conduite aux portes du tombeau, et qui était compliquée d'une affection au foie et d'une maladie non moins sérieuse des reins. Ma santé, si éprouvée depuis plusieurs années, m'a été rendue bien meilleure. En peu de jours j'ai pu reprendre et exercer sans interruption mon office de portière avec d'autres occupations fatigantes. La nuit du Jeudi Saint, 7 avril, j'ai pu veiller avec la communauté devant le Saint Sacrement. Je prends la nourriture commune de nos Sœurs au réfectoire et ne ressens nullement aucune des indispositions des maladies précédentes. J'ai su depuis, par une religieuse du Tiers-Ordre, qu'ayant interrogé le docteur sur mon état le soir, veille de ma guérison, celui-ci avait répondu: «Elle expirera peut-être cette nuitGloire soit rendue