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Que le gouvernement anglais fût ému de ces événements et en ressentît un vif déplaisir, rien n'était plus naturel et nous ne pouvions nous en étonner; il était le protecteur ordinaire du Maroc; il avait essayé de prévenir la guerre en accommodant notre différend avec l'empereur Abd-el-Rhaman; il n'y avait pas réussi; la guerre se terminait par deux victoires de la France. Quelles seraient les conséquences de ces victoires? La question devait s'élever dans les esprits anglais et y susciter quelque inquiétude. Sir Robert Peel en conçut d'excessives qui dénotaient, de sa part, une fausse appréciation des faits comme des personnes, et dont nous aurions eu droit de nous plaindre. Il témoigna une double crainte: l'une, que, malgré nos déclarations contraires, nous ne prissions possession permanente de quelques parties du territoire marocain; l'autre, que nous ne donnassions un grand développement

Madame Laperle qui, depuis le mois de mai, avait abandonné son appartement de la rue Saint-Hubert pour aller demeurer dans le quartier anglais, rue Peel, elle était libre de recevoir Paul Mirot aux heures qui lui plaisaient, éprouva une grande joie

Au reste, il est peut-être bon de remarquer ici que sir Robert Peel n'avait pas le mérite de l'invention. C'est une politique qui a été constamment suivie, depuis la paix, soit par les whigs, soit par les torys, que de chercher dans la diminution des taxes des ressources pour le trésor. Seulement, ce que les précédents cabinets avaient fait pour les taxes intérieures (et je citerai entre autres la réforme postale), sir Robert l'a appliqué aux droits de douane. Par l

Il était agréable, quoique un peu trop sérieux, un peu trop littéraire; et puis il fallait y supporter * et sir Francis d'Ivernois; mais en revanche on y rencontrait Peel et Ward et Valentia, et plusieurs autres personnes aimables et connues.

On a vu par les extraits de son journal que M. Peel était l'un de ses condisciples d'Harrow. La curieuse anecdote suivante, qui les concerne tous deux, m'a été rapportée par un ami de ce dernier, et je tâcherai de me rapprocher autant que possible des propres expressions du narrateur.

»À la fin de 1811, je rencontrai un soir chez Alfred mon ancien camarade d'école et de classe, le secrétaire irlandais Peel. Il me raconta qu'en 1810 il avait cru me rencontrer dans Saint-James-Street, mais que nous avions tous deux passé outre sans nous parler. Il parla de cette rencontre, qui fut niée comme chose impossible, puisque j'étais alors en Turquie. Un jour ou deux après, il montra

La première mesure que prit sir Robert Peel, ce fut de faire un appel aux riches pour combler le déficit. Il soumit

La tempête continuait de plus belle et il fallut au jeune homme plus d'une demi heure pour se rendre au petit appartement de la rue Peel, en marchant péniblement dans la neige jusqu'

Les Meetings d'Irlande. L'agitation continue en Irlande, mais sans incidents nouveaux, les meetings se succèdent nombreux et énergiques, et cependant la question n'avance point. L'Angleterre demeure calme et indifférente, en apparence du moins. Sir Hubert Peel, qui semble avoir adopté pour devise, Impavidum ferient ruinae, déclare qu'il ne veut ni du repeal, ni d'une réforme religieuse en Irlande. La Chambre des Lords discute sans conclure, et le duc de Wellington demande que le pouvoir se tienne prêt

Je n'ai pas besoin de vous dire avec quel intérêt, quelle anxiété, je suis le progrès de votre agitation. Je regrette que M. Peel se soit laissé devancer. Sa supériorité personnelle et sa position le mettent