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Sur ce, ô commandeur des non-croyants! pardonnez-moi, ne me tuez pas en duel, et remettez dans votre poche un de vos sujets de chagrin les plus mal fondés. Charlotte, qui vous aime, a cru bien faire en vous parlant de moi. Elle s'est trompée, ne l'agitez pas avec cela. Je ne lui en parlerai seulement pas.

Rien, monsieur. Le regard du comte vacilla, et c'est avec un tremblement dans la voix qu'il reprit: Pas même ce tableau, dont la bordure splendide dépasse ce rideau de serge? Bien qu'il attendit cette question, le jeune peintre rougit excessivement. Pardonnez-moi, monsieur, reprit-il, ce tableau est complétement terminé, seulement je ne le montre

Pardonnez-moi, Monsieur, je viens seulement d'ici près. Je crois que cet habit est purgatif, et que c'est prendre médecine que de le porter. Don Juan Peste soit l'insolent ! Couvre au moins ta poltronnerie d'un voile plus honnête. Sais-tu bien qui est celui

Tenez, Marguerite, pardonnez-moi toutes ces questions; mais je vous aime, voyez-vous, je vous aime comme au premier jour, et tant que je vivrai, cet amour restera pur et inaltérable dans mon coeur... Eh bien!... Parlez. On m'avait dit qu'en quittant Saint-Jean-du-Doigt une cruelle maladie... que sais-je? le délire...

Pardonnez-moi, reprit le juge, de vous préparer

Elle ajouta d'une voix plus basse: Mon Dieu, ayez pitié de moi! mon Dieu, pardonnez-moi... comme je lui pardonne,

Pardonnez-moi, mon révérend Père, avait répondu notre héros, mais j'ai fait le voeu d'emporter mon secret dans la tombe... Cependant, il ne devait pas en être ainsi, car Dieu avait choisi son heure pour révéler ce secret et faire éclater en même temps l'innocence de son fidèle serviteur.

Si j'avais deviné plus tôt que cette odeur vous déplaisait, il y a long-temps que je serais parti. » Mais, monsieur, il ne faut pas que cela vous renvoierépond Caroline d'un ton froid mais poli. « Oh! pardonnez-moi, madame, je vois bien... je comprends bien que chez vous... il faut...»

Pardonnez-moi mon embarras, dit-elle enfin; c'est une situation si douloureuse que celle d'une femme qui vient se plaindre de son mari... qu'elle aime, que je ne sais comment m'expliquer... bien que depuis plus d'un mois j'aie préparé cent fois par jour ce que je dois vous dire. Adeline fit un signe pour la rassurer. Vous connaissez mon mari? demanda-t-elle en le regardant avec crainte.

Mais le pire de notre situation, ma chérie, c'est que je puis vous obtenir en vous compromettant, et c'est cela que vous me proposez... Pardonnez-moi, je n'ai jamais pensé