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Les hostilités maritimes qui commencèrent la guerre de sept ans avaient éclaté. Avec les intelligences en Corse qu'on supposait aux Anglais, la France ne pouvait pas souffrir que cette île restât sans défense. C'était pour que les Génois la fissent garder que le roi avait accordé les subsides, il exigeait que la république levât des troupes pour les y employer. Le roi voulut aussi savoir en quel état se trouvaient les fortifications de l'île, et il y expédia des ingénieurs, mission dont les Génois s'offensèrent. Ils montrèrent aussi une répugnance plus qu'ordinaire quand on leur offrit d'envoyer des troupes de France, puisqu'ils n'en avaient point eux-mêmes. Ils savaient cependant que Paoli, dans une assemblée nationale, avait annoncé la venue d'une escadre anglaise, et s'était vanté que dans un mois il ne resterait plus un seul Génois sur le sol de la Corse. On n'en répondit pas moins

Une assemblée postérieure déclara que Paoli avait rendu un compte fidèle de ses relations avec la France, que sa conduite était approuvée, et qu'il était invité

Il avait eu l'idée, figurez-vous, d'ouvrir une souscription patriotique pour élever une statue au général Paolo, Paoli, enfin,

Paoli et Giaffiero publièrent, en manière de manifeste, une lettre adressée aux otages envoyés

Cela n'empêchait pas Hyacinthe Paoli de faire exécuter la soumission solennelle de la province de Balagne, ainsi qu'il en avait contracté l'engagement antérieur. Il prit, il est vrai, un prétexte pour ne pas assister

Organisation générale de l'île d'Elbe. L'armée. Le bataillon franc. Le corps de cadets. Les services privés. Bertrand et Drouot. Le trésorier Peyrusse. Le docteur Foureau de Beauregard. Le service intérieur. Les chambellans. Les officiers d'ordonnance. Le premier officier Roul. Le lieutenant de gendarmerie Paoli: son incapacité, son ingratitude. Le vicaire général Arrighi. Le juge Poggi, policier secret. Visite de Napoléon

Quand Paoli avait appris que les Génois étaient enfin déterminés

M. de Castries avait conduit des troupes en Corse. Paoli déclara qu'il les voyait avec plaisir. Il avait

Paoli témoigna beaucoup de regret sur ce prêt de troupes accordé aux ennemis de sa nation. Il en prévoyait de mauvais effets. Le séjour des Génois dans l'île serait donc prolongé; il fallait prendre ses mesures en conséquence. Il demandait que le subside fût doublé. Il demandait surtout qu'on lui donnât connaissance du traité fait avec Gênes et de ses articles secrets.

Les jeunes gens regardaient, stupéfaits, le tranquille témoin de ce crime. Jeanne demanda: Et l'assassin? Paoli Palabretti toussa longtemps, puis il reprit: Il a gagné la montagne. C'est mon frère qui l'a tué, l'an suivant. Vous savez bien, mon frère, Philippi Palabretti, le bandit. Jeanne frissonna: Votre frère? un bandit? Le Corse placide eut un éclair de fierté dans l'oeil.