United States or French Guiana ? Vote for the TOP Country of the Week !


Le plus jeune et le moins élevé en grade de tous les aides de camp du maréchal était Victor Oudinot, fils du maréchal de ce nom. Il avait été premier page de l'Empereur et l'accompagnait en cette qualité

Cependant un sentiment d'espérance soutenait encore les assiégés. Plusieurs aides-de-camp du général, après de courageux efforts, avaient traversé le blocus, et apporté quelques nouvelles. Le chef d'état-major général Oudinot, qui pendant le siège avait donné les plus grandes preuves de dévouement; les colonels Reille, Franceschi, Ortigoni avaient passé, et avaient appris, tantôt que le Premier Consul se mettait en route, tantôt qu'il passait les Alpes. L'un d'eux, Franceschi, l'avait laissé descendant le Saint-Bernard. Mais depuis le 20 mai on n'avait plus de ses nouvelles. Dix et douze jours écoulés dans cette situation paraissaient des siècles, et on se demandait avec désespoir comment il se pouvait qu'en dix jours le général Bonaparte n'eût pas franchi l'espace qui sépare les Alpes de l'Apennin. Tel qu'on le connaît, disait-on, il est déj

Le général Marchand, le général Duvernet, le prince d'Essling, le duc d'Angoulême se portent sur ses derrières et lui fermeront la retraite. Le général Lecourbe vient manoeuvrer sur ses flancs. Le maréchal Oudinot arrive avec ses fidèles grenadiers royaux. Les Gardes Nationales de Marseille, et la population entière du midi, marchent de tous côtés

Les grenadiers du général Oudinot étaient en face de Friedland le matin du 14,

Le corps du maréchal Oudinot, qui était dans la direction de Glogau, se concentra et prit sa direction par Cotbus, Enbenau et Cossen; il avait avec lui le corps saxon commandé par le général Reynier, et celui du général Bertrand; le tout faisait un total de plus de quatre-vingt mille hommes, qui devaient marcher sur Berlin, et attaquer le corps ennemi qui était commandé par Bernadotte, arrivé depuis peu avec ses Suédois; il avait avec lui le corps du général prussien Bulow, et beaucoup de milices de cette nation avec quelques troupes russes.

«Le duc de Rivoli aura ses quatre divisions d'infanterie; il laissera un régiment badois aux ordres du général Reynier. Sa cavalerie sera commandée par le général Lasalle, qui ne recevra d'ordre que du duc, et, qui aura sous lui les brigades Piré, Marulaz et Bruyère. «Le général Oudinot aura ses trois divisions d'infanterie et la brigade de cavalerie légère du général Colbert.

La ligne de l'Elbe, largement dépassée par Davout, fut bientôt atteinte par les autres corps. Oudinot prit contact avec elle

Ce ne fut point une vanité puérile qui lui fit alors passer ce fleuve, mais l'empressement de voir par lui-même en était l'armée russe dans sa marche de Drissa sur Vitepsk, et s'il pourrait l'attaquer au passage, ou la devancer dans cette ville. Mais la direction que prenait l'arrière-garde ennemie, et les réponses de quelques prisonniers, lui prouvèrent que Barclay l'avait prévenu, qu'il avait laissé Witgenstein devant Oudinot, et que le général en chef russe était dans Vitepsk. Déj

On laissa reposer les troupes un moment. Le point se trouvait le général Oudinot étant le plus avancé, il fut le premier en mesure d'attaquer; on le fit appuyer par une division de l'armée d'Italie. L'empereur avait ordonné que ces deux colonnes attaquassent ensemble: la division de l'armée d'Italie avait un peu plus d'espace

La position qui borde le Russbach est forte, domine la plaine et se trouve protégée par ce ruisseau qui, bien que peu large, forme un très bon obstacle, parce que ses bords étant très escarpés, l'infanterie ne peut les franchir qu'avec difficulté, et que la cavalerie et l'artillerie n'avaient d'autre passage que les ponts situés dans les villages occupés par les Autrichiens. Cependant, comme le Russbach était la clef de la position des deux armées, Napoléon résolut de s'en emparer, et fit en conséquence attaquer Markgrafen-Neusiedel par Davout, Baumersdorf par Oudinot et Deutsch-Wagram par Bernadotte, tandis que le prince Eugène, secondé par Macdonald et Lamarque, passait le ruisseau entre ces deux villages. L'artillerie légère de la garde écrasa par son feu les masses autrichiennes; mais le maréchal Bernadotte,