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Prends le royaume de la Chine, le Tibet et la Mongolie, s'écria-t-il; prends le royaume de Népaul les rochers sont faits de pur diamant; prends Lahore et Kachmyr qui est la vallée du paradis terrestre; prends le royaume du Grand-Lama si tu veux; mais ne prends pas ma chère princesse, ou je t'abats comme un sanglier.

Le lendemain, 28 juin, l'Albatros se trouvait en face du gigantesque massif, au-dessus de la province de Zzang. De l'autre côté de l'Himalaya, c'était la région du Népaul.

Hurrah! s'écria le capitaine Hod, et malheur aux fauves des frontières du NépaulEn ce moment, le sergent Mac Neil, attiré par les hurrahs du capitaine, parut sur la porte de l'habitation. «Mac Neil, lui dit le colonel Munro, nous partons dans un mois pour le nord de l'Inde. Tu seras du voyage? Nécessairement, mon colonel, puisque vous en êtesrépondit le sergent Mac Neil.

Une barrière de roches primitives, granit, gneiss, micaschiste, longue de deux mille cinq cents kilomètres, qui se dresse depuis le soixante-douzième méridien jusqu'au quatre-vingt-quinzième, en couvrant deux présidences, Agra et Calcutta, deux royaumes, le Bouthan et le Népaul; une chaîne, dont la hauteur moyenne, supérieure d'un tiers

Enfin, le lasso est encore employé dans le Bengale et dans le Népaul. C'est une vraie chasse, avec d'intéressantes péripéties. Des éléphants, bien dressés, sont montés par trois hommes. Sur leur cou, un mahout, qui les dirige; sur leur arrière-train, un aiguillonneur, qui les stimule du maillet ou du croc; sur leur dos, l'Indou, qui est chargé de lancer le lasso, muni de son noeud coulant. Ainsi équipés, ces pachydermes poursuivent l'éléphant sauvage, pendant des heures quelquefois, au milieu des plaines,

Fausses obsèques, pour donner le changeLe faquir n'avait pas sourcillé en entendant affirmer ce dernier fait d'une façon qui n'admettait aucun doute. Cependant, son front se plissa involontairement, lorsqu'il entendit un Indou, l'un des plus surexcités du groupe auquel il s'était mêlé, donner les détails suivants, détails trop précis pour ne pas être véridiques: «Ce qui est certain, disait l'Indou, c'est qu'en 1859, le nabab s'était réfugié avec son frère Balao Rao et l'ex-rajah de Gonda, Debi-Bux-Singh, dans un camp, au pied d'une des montagnes du Népaul. L

Six mille sikhs et quatre mille gourkhas du Népaul, soldats robustes, patients, courageux et redoutables lorsqu'ils sont bien commandés, occupaient la droite et la gauche du camp. Les Anglais étaient au centre. On n'avait pas voulu employer contre Corcoran les régiments cipayes, dont on soupçonnait la fidélité.

Au début de l'année 1858, Campbell et Outram recommençaient une seconde campagne dans l'Oude, avec quatre divisions d'infanterie, que commandaient les majors généraux sir James Outram, sir Edward Lugar, les brigadiers Walpole et Franks. La cavalerie était sous sir Hope Grant, les armes spéciales sous Wilson et Robert Napier, soit environ vingt-cinq mille combattants, que le maharajah du Népaul allait rejoindre avec douze mille Gourgkhas. Mais l'armée révoltée de la Bégum ne comptait pas moins de cent vingt mille hommes, et, la ville de Lucknow, sept

Tel fut le premier soin de Nana Sahib. Les Indous qui l'avaient suivi depuis Adjuntah, pouvaient aller et venir librement dans toute la présidence. Balao Rao, que ne visait pas la notice du gouverneur, aurait pu, lui aussi, jouir de la même immunité, n'eût été sa ressemblance avec son frère. Depuis sa fuite jusqu'aux frontières du Népaul, l'attention n'avait plus été attirée sur sa personne, et l'on avait tout lieu de le croire mort. Mais, pris pour Nana Sahib, il eût été arrêté, ce qu'il fallait éviter

Le 12 juin au soir, notre train faisait halte près d'une bourgade peu importante, et, le lendemain, nous repartions pour franchir les cent cinquante kilomètres qui nous séparaient encore des montagnes du Népaul. CHAPITRE XIV Un contre trois.