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On a fait cent récits de la douleur du peuple, des églises assiégées, des prières, des pleurs, des sanglots. Il est sûr qu'on gardait alors beaucoup encore de cet amour de mère que la France avait eu pour l'enfant Louis XV. Mais on a dit trop peu que, dans cette douleur entrait (et pour beaucoup aussi) la terreur de l'invasion, l'irruption horrible de ces bandes de mutilateurs, l'effroyable récit de ce qu'ils faisaient en Alsace. On les crut

Il haïssait les fabricants de pastiches, les arrangeurs, correcteurs et mutilateurs. Il les insultait, il les maudissait, il les ridiculisait . Jamais personne n'a bafoué avec plus de force cette engeance immortelle, car il suffit aujourd'hui d'assister

Pouvait-il oublier, lui, enfant de la presse libre et de la libre parole, un prince qui s'était écrié, le jour de son avénement au trône de ses ancêtres: Plus de censure! et qui avait renvoyé dans leurs cavernes les honteux mutilateurs de la presse honnête et libérale? Et de même que le roi Charles X avait dit: Plus de censure! en montant sur le trône, il avait répondu aux vieux poëtes de l'empire qui, dans une pétition célèbre, le sollicitaient, ô honte incroyable! contre les poëtes naissants: «Je n'ai que ma place au parterreIl avait fait, il avait dit aussi bien, le jour il fit appeler l'auteur de Marion Delorme, en le priant de laisser en repos l'ombre de son aïeul, le roi Louis XIII. La date est certaine; elle est consacrée