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L'empereur ne s'y arrêta qu'une nuit; il venait d'apprendre que le roi de Bavière, avec toute sa famille, avait été obligée de se retirer de Munich, et se trouvait

Mon père, André Pétrovitch Grineff, après avoir servi dans sa jeunesse sous le comte Munich , avait quitté l'état militaire en 17.. avec le grade de premier major. Depuis ce temps, il avait constamment habité sa terre du gouvernement de Simbirsk, il épousa Mlle Avdotia Ire, fille d'un pauvre gentilhomme du voisinage. Des neuf enfants issus de cette union, je survécus seul; tous mes frères et soeurs moururent en bas âge. J'avais été inscrit comme sergent dans le régiment Séménofski par la faveur du major de la garde, le prince B..., notre proche parent. Je fus censé être en congé jusqu'

»A Munich, le roi s'est livré entièrement au prince de Wrède. Soixante mille Bavarois sont

Moreau avait porté son aile gauche, forte de 26 mille hommes, et placée sous les ordres du général Grenier, sur la grande route de Munich

Le corps d'armée du maréchal Bernadotte est parti de Munich le 4 brumaire. Il est arrivé le 5

Avant de quitter Vienne, l'empereur eut encore le temps d'y recevoir une députation de quatre maires de la ville de Paris, qui venaient le féliciter de ses victoires. Peu après, il partit pour Munich, ayant annoncé qu'il allait mettre la couronne royale sur la tête de l'électeur de Bavière, et conclure le mariage du prince Eugène.

À l'étranger, les démonstrations ne furent pas moins éclatantes qu'en France. À Milan, Turin, Naples, Venise, Rome, Amsterdam, Bruxelles, Francfort, Bade, Darmstadt, Wurtzbourg, Munich, Dusseldorf, Berne, Berlin, Trieste, Stockholm, partout enfin, ce ne fut que salves d'artillerie, illuminations, ovations, acclamations. À Vienne, on attendait avec impatience la nouvelle de la délivrance de Marie-Louise. Une correspondance de cette ville, en date du 26 mars, nous apprend que le dimanche 24, la dépêche reçue par l'ambassadeur de France causa une joie générale. Le 25, un courrier spécial apporta au palais impérial la nouvelle officielle, et l'Empereur d'Autriche ordonna pour le lendemain grand cercle

Pendant que je traversais lentement cette foule brillante, j'entendis quelques paroles qui augmentèrent encore mon émotion: de tous côtés on admirait l'angélique beauté de la princesse Amélie, les traits charmants de la marquise d'Harville, et l'air véritablement impérial de l'archiduchesse Sophie, qui, récemment arrivée de Munich avec l'archiduc Stanislas, allait bientôt repartir pour Varsovie; mais, tout en rendant hommage

Héricourt remercia son «caractère». À l'exemple des Romains, tel que les Scipion et les César, il allait conquérir le monde. Oh! c'était une grande chose qui exaltait son émotion. À Munich il lut, les larmes aux yeux, le bulletin de Napoléon. «Soldats de la Grande Armée... En quinze jours, nous avons fait une campagne; ce que nous nous proposions est rempli... Cette armée, qui avec autant d'ostentation que d'imprudence, était venue se placer sur nos frontières, est anéantie... Soldats, ce succès est

Nous étions campés dans la plaine de Munich près les parcs du duc de Bavière. Je peux dire que ces parcs étaient superbes et grands, entourés de planches très hautes et renfermant toutes sortes de bêtes sauvages et d'oiseaux. C'était si bien construit que c'était vraiment amusant; mais la guerre détruit tout; on a enlevé les planches pour se construire des abris dans le camp: de suite on s'est mis