United States or Mali ? Vote for the TOP Country of the Week !


Nous nous levâmes. Après tous les remerciements et les compliments coutumiers, M. Masfrangeas embrassa ma mère: Eh bien, c'est entendu, n'est-ce pas, quand ce garçon reviendra du Frau, vous me l'enverrez; d'ici l

Ce sont tous de fameux coquins, dit M. Masfrangeas. L

M. Masfrangeas, dans ce temps, faisait quelques questions au jeune phénomène, qui répondait très bien avec une voix douce qui augmentait le plaisir que j'avais de la voir. Elle montra de très près ses bras superbes et les fit tâter aux gens qui étaient l

Après avoir passé devant le théâtre bien éclairé, on jouait La Grâce de Dieu, M. Masfrangeas proposa de prendre un verre de punch, et nous entrâmes au café Rose Beauvais. Fayolle l'improvisateur y était justement pour lors, et il chantait une de ses chansons patoises, qu'il coupait de brocards

Mon oncle et M. Masfrangeas achevaient tranquillement leur gloria, et je les admirais naïvement pendant ce temps. M. Masfrangeas était le bon vrai portrait du Périgordin: tête grosse, encadrée d'un grand faux-col qui lui guillotinait les oreilles, cheveux châtains ébouriffés, yeux bruns, figure rouge.

Cependant, mon oncle avait ses quatre-vingt-deux ans passés, et il était toujours en bonne santé. Sa barbe et ses cheveux étaient blancs comme neige; mais au demeurant il n'avait point de grandes infirmités, entendant bien, lisant sans lunettes et marchant encore avec son bâton, quoiqu'il eût quelquefois des douleurs. Son ami Masfrangeas était mort il y avait un an, et il disait quelquefois que ça serait bientôt

La retraite de M. Masfrangeas nous rendit toute notre liberté vis-

Mais ma mère arriva avec une toupine de prunes: Ce sont des prunes du Frau, c'est moi qui les ai faites; vous allez bien en tâter, monsieur Masfrangeas. Pour sûr, j'en goûterai avec plaisir pour cette double raison. Et nous prîmes une prune. Je pensais que c'était fini; mais mon oncle allongeant le bras vers le cabinet me dit: Porte cette petite roquille, Hélie.

Quand je remontai, M. Masfrangeas était en train de dire ses deux mots au rable du levraut. Mon oncle déboucha doucement une des bouteilles et remplit les verres, puis, prenant le sien, il le leva: Nous allons commencer par boire

Mais ça ne peut pas durer longtemps comme ça! Mon pauvre Rétou, dit M. Masfrangeas, ça durera plus que nous.