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Manchester est aujourd'hui proclamée une seconde Amsterdam, par l'importance de ses produits et son commerce... eh bien, je ne crois pas que le flegme hollandais ou l'activité anglaise soient plus dignes de l'attention du monde que l'industrieuse patience de l'homme de Saint-

»... Je ne sais rien de cette affaire de Lyon que par les journaux ; elle inquiète ici. Le souvenir de Bristol et la crainte de Manchester ne laissent pas le pays sans quelque souci. On désire ardemment que cela finisse et que l'on trouve quelque arrangement qui, sans être trop une concession, satisfasse les gens qui n'ont pas de quoi vivre avec la journée qui leur est payée dans les grandes fabriques. C'est un problème qui est difficile

Monsieur Spardek, dit-il et je compris combien notre interlocuteur se mettait, par cette simple phrase, au-dessus des vains titres humains. Le révérend Spardek, de Manchester, nous fit un salut compassé, et nous demanda l'autorisation de conserver sur la tête son haut-de-forme

Que sera-ce donc lorsqu'il s'agira pour un bureau de recevoir et d'expédier plusieurs dépêches par jour venant du même point, si un jour nous nous servons des chemins de fer? Le service de transport des dépêches entre Liverpool et Manchester est

Au Standard, qui est resté le champion de l'empire esclavagiste, nous opposerons le Star, le Daily-News, le Pall-Mall Gazette, le Times, et surtout l'organe le plus autorisé du commerce britannique, la Shipping and mercantile Gazette. Ces journaux, avec lesquels font chorus les principales feuilles de Liverpool, de Manchester, d'Edimbourg, défendent avec une énergique persistance la cause de l'

Si Calcraff tombait malade, on ferait venir, pour le remplacer, le bourreau de Manchester. Tu as raison, mais... Mais quoi? fit Shoking. Pour faire venir le bourreau de Manchester, il faut avoir le temps. Tu me diras que l'express-train va vite et le télégraphe plus vite que l'un et l'autre. Dame! Mais il y a des maladies qui vont plus vite encore. Je ne comprends toujours pas, dit Shoking.

On ferait venir l'exécuteur de Manchester ou de Liverpool.

Après Londres, on visita successivement Liverpool, Manchester, Edimbourg, Glascow et Dublin. Partout, la petite Française fut fêtée, acclamée, choyée et couronnée! Le Pactole ruisselait dans la caisse des trois frères. Malheureusement, ceux-ci ressemblaient

«J'ai expérimenté aussi, dit M. Preece, des câbles souterrains entre Manchester et Liverpool sur une longueur de trente milles, et je n'ai rencontré aucune difficulté dans la correspondance que j'ai échangée; il en a été de même sur le câble de Dublin

Oh! comme mon coeur battait quand je lisais votre description du grand meeting de Manchester! Comme vous, je sentais l'enthousiasme me pénétrer par tous les pores. Jamais rien de semblable, quoi qu'en dise Salomon, s'était-il vu sous le soleil? On a vu de grandes réunions d'hommes se passionner pour une conquête, pour une victoire, pour un intérêt, pour le triomphe de la force brutale; mais avait-on jamais vu dix mille hommes s'unir pour faire prévaloir par des moyens pacifiques, par la parole, par le sacrifice, un grand principe de justice universelle? Quand la liberté du commerce serait une erreur, une chimère, la Ligue n'en serait pas moins glorieuse, car elle a donné au monde le plus puissant et le plus moral de tous les instruments de civilisation. Comment ne voit-on pas que ce n'est pas seulement l'affranchissement des échanges, mais successivement toutes les réformes, tous les actes de justice et de réparation, que l'humanité pourra réaliser