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A Paris, le cabinet anglais faisait, autant qu'il le pouvait, traîner en longueur la négociation; mais le cabinet français par des réponses promptes et claires, obligea enfin lord Malmesbury

Lord Malmesbury signifia ses pouvoirs, les conditions du traité étaient laissées en blanc, et demanda quelles étaient les conditions de la France. Les trois négociateurs français exhibèrent les conditions, qui étaient, comme on pense bien, un maximum fort élevé. Ils demandaient que le roi d'Angleterre renonçât au titre de roi de France, qu'il continuait de prendre par un de ces ridicules usages conservés en Angleterre; qu'il rendît tous les vaisseaux pris

Guillaume de Malmesbury rapporte l'anecdote suivante: «Jean était assis

James Harris, comte de Malmesbury, était en 1746. Secrétaire d'ambassade en 1768. Ministre

MALMESBURY (Lord), ambassadeur anglais envoyé

Guillaume le voit et s'avance en chantant l'air de Roland... Très exact! très historique! murmurait sourdement la Science du Docteur; car Malmesbury dit positivement que Guillaume commença l'engagement par le chant de Roland: Tunc cantilena Rolandi inchoata, ut martium viri exemplum pugnatores accenderet. Et Warton, dans ses Dissertations, dit que les Huns chargeaient en criant: Hiu! hiu!

Il n'en est pas moins vrai que des appareils d'aviation ont été expérimentés depuis des temps très reculés. Au onzième siècle, Olivier de Malmesbury, savant bénédictin anglais, entreprit de voler en s'élevant du haut d'une tour, mais les ailes qu'il avait attachées

«Mon ami lord Malmesbury m'avait répété cent fois: «Il faut que je vous mène chez une femme exquise qui habite Oxford Street, 277, miss HowardUn soir, je me laissai faire. C'était le 22 février 1848. La maîtresse de maison était vraiment d'une beauté parfaite et les convives étaient charmants. Outre Malmesbury, j'y comptai plusieurs relations: lord Clebden, lord Chesterfield, sir Francis Mountjoye, major au 2e Life Guards, le comte d'Orsay. On joua, puis on se mit

Clarke au quartier-général de l'armée d'Italie. Rupture des négociations avec le cabinet anglais. Départ de Malmesbury. Expédition d'Irlande. Travaux administratifs du directoire dans l'hiver de l'an v. Etat des finances. Recettes et dépenses. Capitulation de Kehl. Dernière tentative de l'Autriche sur l'Italie. Victoires de Rivoli et de la Favorite; prise de Mantoue.

«Les Anglo-Saxons, dit Guillaume de Malmesbury, avaient, longtemps avant l'arrivée des Normands, abandonné les études des lettres et de la religion. Les clercs se contentaient d'une instruction tumultuaire;