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Malheureusement trop convaincu, La Popelinière fut inflexible. «Madame, lui dit-il, tout l'artifice de vos paroles ne me fait point changer de résolution; nous n'habiterons plus ensemble. Si vous vous retirez modestement, sans bruit, je prendrai soin de votre sort. Si vous m'obligez de recourir aux voies de rigueur pour vous faire sortir de chez moi, je les emploierai; et tout sentiment d'indulgence et de bonté pour vous sera étouffé dans mon âmeElle sortit. Il lui donna, je crois, vingt mille livres de pension alimentaire, avec quoi elle alla vivre ou plutôt mourir dans un réduit obscur, délaissée de ce beau monde qui l'avoit tant flattée, et qui la méprisa lorsqu'elle fut dans le malheur. Une glande qu'elle avoit au sein fut le foyer d'une humeur corrosive qui la dévora lentement. Le maréchal de Richelieu, qui se donnoit ailleurs des passe-temps et des plaisirs, tandis qu'elle se consumoit dans les douleurs les plus cruelles, ne laissoit pas de lui rendre en passant quelques devoirs de bienséance; aussi disoit-on dans le monde, après qu'elle eut cessé de vivre: «En vérité, M. de Richelieu a eu pour elle des procédés bien admirables! il n'a pas cessé de la voir jusqu'

Votre Altesse ne rencontrera plus, je le promets, la moindre opposition de la part du plus dévoué et du plus reconnaissant de ses serviteurs. Mon cher Geraldine, répondit le prince, je suis toujours aux regrets, lorsque vous m'obligez

Ah! quelles visions. Pour me treuver semblable A quelque autre beauté qui vous fut agreable, Je vous plais par copie? Oüy, rien que ce rapport N'entretient mon amour. Vous m'obligez bien fort, Et moy dés maintenant je vous ayme au contraire Comme un original qu'on ne peut contrefaire. Vous m'obligez aussi. Ma Soeur, jusqu'

Pas en ce moment, ma tante, il me serait impossible de lui dissimuler mon embarras... une autre fois... demain, après-demain, mais en ce moment, ne m'obligez pas.... Je ne saurais que lui dire, tandis que vous.... Et il s'élança dans la chambre voisine, en entendant les pas du nouveau venu. Mademoiselle Piédevache acheva la phrase tandis que moi, je saurai ce que je dois dire.

Paris, ce 15 août 1810. «Ce qui me convient le mieux, Madame, c'est de pouvoir vous être utile. Vous m'avez obligé en acceptant ma calèche; et vous m'obligez encore en la gardant tant que vous compterez vous en servir. Je n'en ai aucun besoin dans ce moment-ci, et je ne prévois pas qu'avant la fin de septembre je sois dans le cas d'en faire usage.

Mais, continua-t-il, si vous m'obligez

Vous violez la loi. Je ne connais que mes ordres: dispersez-vous. Vous ne passerez pas. Ne m'obligez pas

Comme si je pouvais lui cacher toujours le voeu le plus ardent de mon coeur! Mais non, il ne veut pas que je lui en parle jamais. Et quand vous serez ma femme, a-t-il dit, ne m'obligez pas

Fuyez fuyez Madame, un Prince qui souspire, Evitez mon abord, traitez moy rudement, Et ne m'obligez pas d'un regard seulement, Si par cette raison vous pensez que ma flame Allentisse l'ardeur qui consume mon ame, Vous vous trompez Chymene & par ces vains efforts Vous me lancez des traits plus puissans & plus forts: Voy Rodrigue aujourd'huy comme l'amour me traitte.

«Ne m'obligez pas