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Les luttes débutent par les plus jeunes: des adolescents, des enfants presque, de douze

Les légendes elles-mêmes sont une source féconde de la littérature canadienne, légendes de ces temps lointains des luttes contre le féroce Iroquois, le merveilleux se mêle

Cependant les révoltés, voyant le sort qui les attendait tous, et habitués d'ailleurs aux luttes révolutionnaires, n'étaient pas gens

Ce n'est ni l'amour ni l'intrigue politique qui jettent Mlle de Montpensier dans les luttes civiles: c'est le désir, romanesque de jouer

Mais il faudra rendre plus forte l'éducation de nos enfants en les habituant de bonne heure aux luttes de la vie et au sentiment du devoir. Les familles s'en déchargent trop sur les pensionnats, qui ne se préoccupent que de les préserver du danger en les enfermant dans des murs. Les Corporations enseignantes sont faites pour aider, non pour suppléer la famille, et l'enfant qui n'a vu que des murs jusqu'

Les peuples, comme les individus, finissent par se lasser des interminables querelles. Les plus beaux courages s'usent dans ces luttes énervantes l'on risque

Ah! mon pauvre vieux, comme on voit bien que vous avez de bonnes petites rentes! Si vous saviez que de tourments, d'inquiétudes, de luttes, représente le moindre succès! Si ceux qui triomphent voulaient l'avouer, cela relèverait le courage des lutteurs. Mais chacun ne montre que le résultat, honteux de la lutte et orgueilleux de faire croire que le grand talent, seul, conquiert le monde.

A côté de l'histoire générale, d'autres écrivains se sont donné la tâche de décrire certaines périodes, d'éclairer certains coins particuliers de l'histoire du Canada. M. David a écrit l'histoire toute mêlée de larmes et de sang des patriotes de 1837. M. Turcotte nous a conté les luttes politiques des Canadiens et leurs succès sous la malheureuse constitution de 1840, par laquelle on avait voulu les étouffer. M. Tassé nous a conduits, avec les trappeurs et les défricheurs canadiens,

Magda n'aurait pu vivre sans ses amis; ils lui étaient devenus nécessaires, ils faisaient partie du factice bonheur qu'elle s'était créé. Les voir, les entendre, connaître leurs émotions, leurs luttes, leurs aspirations, leurs triomphes, cela lui semblait aussi utile que l'air qu'elle respirait. Son esprit ouvert et subtil s'élargissait au souffle de leurs génies divers. Elle était,

«Le malheur qui suivit cette union, le froid abandon et les reproches immérités, la pauvreté qui vint fondre sur la maison, les luttes de la vie quotidienne, ces luttes trop mesquines et trop pénibles pour être racontées, mais affreuses