United States or Aruba ? Vote for the TOP Country of the Week !


Au surplus, comment correspondre par lettre avec des gens dont on ignore la langue?... Laissons-nous conduire par ce petit, dit Khamis. Est-ce que tu ne reconnais pas la case de son père et de sa mère?... demanda John Cort au jeune indigène. Non, mon ami John, répondit Llanga, mais... sûrement... Li-Maï nous y mène... Il faut le suivre

CETTE année semblait être celle des fêtes. Je m'y suis arrêté avec plaisir, parce qu'elle précéda une année qui fut celle des malheurs. 1811 et 1812 offrent un contraste frappant. Toutes ces fleurs qui furent prodiguées aux fêtes du roi de Rome et de son auguste mère couvraient un abîme; tout cet enthousiasme se changea en deuil quelques mois plus tard; jamais fêtes plus brillantes ne furent suivies de plus éclatans revers. Laissons-nous donc aller encore aux charmes des dernières réjouissances qui précédèrent 1812. Ce sont des souvenirs dont j'ai besoin d'être fortifié avant d'entrer dans cette époque de sacrifices sans profit, de sang versé sans conserver ni conquérir, de gloire sans résultat. Le 25 août, la fête de l'impératrice fut célébrée

Laissons-nous adorer, répondit le docteur, mais de loin. On y gagne toujours. Voyez, le pays change déj

Voyons, maintenant laissons-nous couler! Le versant méridional de la montagne de glace était en pente assez unie. Nos héros furent promptement au bas. Mille sabords! s'écria Philippe d'un ton moitié colère, moitié lamentable. Qu'y a-t-il! Par la fourche de Neptune, ma gourde est demeurée dans le trou. Pas plus de chance qu'un vaisseau qui a perdu son gouvernail! Une gourds toute pleine!

Aimons en paix: il fait nuit noire, La lueur blême du flambeau Expire... Nous pouvons nous croire Au tombeau. Laissons-nous dans les mers funèbres, Comme après le dernier soupir, Abîmer, et par leurs ténèbres Assoupir... Nous sommes sous la terre ensemble Depuis très-longtemps, n'est-ce pas?

Mais n'abordons pas ces questions de lucre et de trafic auxquelles on ramène tout aujourd'hui, laissons-nous aller franchement aux choses qui nous prennent par les entrailles, et ne nous donnons pas de la peine pour nous empêcher d'avoir du plaisir. Qu'est-ce que le génie? qu'est-ce que la gloire? qu'est-ce que le beau? Je ne sais, et ni vous, monsieur, ni vous, madame, ne le savez mieux que moi. Seulement il me semble que si un artiste a pu produire une œuvre capable de faire naître en tous temps des sentiments élevés, de belles passions dans le cœur d'une certaine classe d'hommes que nous croyons, par la délicatesse de leurs organes et la culture de leur esprit, supérieurs aux autres hommes, il me semble, dis-je, que cet artiste a du génie, qu'il mérite la gloire, qu'il a produit du beau. Tel fut Gluck. Son Orphée est presque centenaire, et après un siècle d'évolutions, de révolutions, d'agitations diverses dans l'art et dans tout, cette œuvre a profondément attendri et charmé le public du Théâtre-Lyrique. Qu'importe, après cela, l'opinion des gens

«Sixième motif: La terre entière n'est-elle pas le jardin du Seigneur? Dieu ne l'a-t-il pas livrée aux fils d'Adam pour qu'ils la cultivent et l'embellissent? Pourquoi nous laissons-nous mourir de faim faute de place, tandis que de vastes contrées également propres