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Les deux combattants roulèrent sur la neige qui se teignit de sang. Mornac était seul contre plus de dix. Les lâches se ruèrent tous sur lui et le garrottèrent. Une longue blessure éraflait son flanc gauche. Le couteau de l'Iroquois avait heureusement glissé sur les côtes. Griffe-d'Ours se releva en portant la main

Comment l'Iroquois était-il parvenu, seul et sans armes,

Le sauvage tomba d'abord sur le genou, puis s'affaissa près de la table, sous laquelle Mornac le poussa du pied. L'Iroquois était ivre-mort. Les buveurs du fond de la salle s'élancèrent vers la porte sans payer leur consommation, et se sauvèrent

Mais quels que fussent les sentiments de l'Iroquois

De quel esprit est-il doué, Quand deux fois par sa politique Et par son adroite rubrique, L'Iroquois est joué; Quand pour le mot plaisant, la fine repartie, Laissant loin en arrière et Voiture et Balzac, Du seul De Frontenac Peut avec lui lutter

Il conduisit le sauvage chez le lieutenant qui l'avait engagé dans sa compagnie; car il était plus facile au lieutenant qu'au soldat de présenter l'Iroquois aux officiers supérieurs. Qu'attends-tu de nous? demanda l'officier au sauvage. Je veux me venger des faces pâles de l

Et dans le coin sombre, les buveurs ne buvaient plus. Ils auraient bien voulu sortir; mais l'Iroquois se trouvait près de la porte, et ils craignaient qu'il ne vint

Alors échauffé par ce succès, emporté par l'ardeur de la vengeance, enivre par l'odeur du sang répandu, le Sauvage oublia sa prudence. Il ne se sentait plus satisfait d'égorger aussi froidement ses victimes, son bras impatient de frapper et de rencontrer une résistance animée. Et il lui asséna un coup terrible de sa massue en plein visage. A demi assommé l'Iroquois poussa un cri rauque.

Celui-ci l'aperçut du coin de l'oeil, se retourna et lui asséna un grand coup. L'iroquois aurait eu le crâne fracassé, s'il n'eût penché la tête. Mais il n'en reçut pas moins le coup sur l'épaule droite. Ce qui le fit lâcher prise et retomber en beuglant.

Deux fois l'Iroquois, qui ne perdait pas de vue la sentinelle, crut remarquer que le bruissement des feuilles sèches foulées par ses genoux et par ceux du lieutenant, et le craquement des racines sous leurs nerveuses étreintes, attiraient l'attention du factionnaire.