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Frontenac, avec cet esprit décisif et déterminé qui le caractérisait, saisit habilement l'occasion de conquérir l'esprit des sauvages. Il leur fit la plus aimable réception, rendue solennelle par la présence des troupes, et les sauvages purent contempler les plus belles démonstrations militaires. M. de Frontenac écouta avec intérêt les harangues des sauvages. Le chef des Ottawais parla surtout des avantages que leur offrait le trafic avec les Anglais; le chef des Hurons parla des engagements que les Français avaient déj

Quoiqu'il sût se priver au besoin, M. de Frontenac aimait la bonne chère, et, la preuve, c'est qu'il avait littéralement mangé son patrimoine. Dame! on ne vivait pas piètrement, de son temps,

Pierre obéit, et M. de Frontenac se tournant vers les deux jeunes gens: Maintenant, messieurs, vous allez venir tous deux coucher au château, ainsi que Mlle d'Orsy, qui voudra bien y rester jusqu'

Je ne vous ferai pas attendre si longtemps, riposta Frontenac! Et il ajouta: «Dites

Le soir qui précéda leur départ, M. de Frontenac donna un grand dîner

Vers le coucher du soleil, on avait averti le major que l'on voyait un canot descendre au loin le courant du fleuve et s'approcher de la ville. Pensant que ce pouvait être le comte de Frontenac qui venait dans cette embarcation, M. Prévost était descendu

Le lendemain du jour les événements qui précèdent s'étaient accomplis, le chevalier de Vaudreuil, on doit se souvenir que M. de Frontenac l'avait envoyé

Fort bien, major. Et qu'avez-vous fait pour la défense de la place? demanda M. de Frontenac, tout en suçotant avec délices un aileron de pluvier.

Sachant bien qu'il valait mieux ne pas arrêter cette effusion, M. de Frontenac garda quelques instants le silence, qu'interrompaient seuls les sanglots de Bienville. Et quand cette pluie de larmes eut diminué, le comte reprit: Je sais d'autant mieux comprendre les peines de l'âme que j'ai moi-même bien souffert. Votre cœur est tout endolori par ce coup imprévu du sort qui rejette

M. de la Barre vint remplacer le comte de Frontenac comme gouverneur général de la Nouvelle-France. C'était un excellent marin, qui s'était distingué par des faits d'armes glorieux contre les Anglais dans l'archipel du Mexique, il s'était emparé d'Antigua et de Montserrat, mais qui se montra en Canada un administrateur médiocre, manquant