United States or Luxembourg ? Vote for the TOP Country of the Week !


Ce fut le mardi qu'on l'enterra, la chasse ayant ouvert le dimanche. Rentré chez lui, après avoir conduit son père au cimetière, César Hautot passa le reste du jour

En 1868, l'homme exilé fut frappé deux fois; il perdit coup sur coup sa femme et son petit-fils, le premier-né de son fils Charles. L'enfant mourut en mars et Mme Victor Hugo en août. Victor Hugo put garder l'enfant près de lui; on l'enterra dans la terre d'exil; mais Mme Victor Hugo rentra en France. La mère avait exprimé le voeu de dormir près de sa fille; on l'enterra au cimetière de Villequier. Le proscrit ne put suivre la morte. De loin, et debout sur la frontière, il vit le cercueil disparaître

On l'enterra sous une énorme butte de terre et de sable suivant la coutume du temps, et, malgré le désir effréné qu'avaient ses héritiers de posséder le marteau rouge, on enterra le marteau rouge avec lui. Ainsi le voulait la loi religieuse conservatrice du respect aux morts.

Il me trouva vivante près des deux morts. Kostaki avait le visage bouleversé par une dernière convulsion. Grégoriska, au contraire, était calme et presque souriant. Comme l'avait recommandé Grégoriska, on l'enterra près de son frère: le chrétien gardant le damné.

On l'enterra avec sa couronne de bal. Nastia en éprouva un grand chagrin, car elle avait l'habitude de choyer Tatiana et de la soigner comme une enfant. Elle avait étonné tout le monde par la sagesse de son testament. À part les trente mille roubles qu'elle laissait

Après avoir trouvé le corps de Priyamvada près de celui de l'éléphant, il l'enterra en observant exactement tous les rites. Il reprit le cours de ses austérités: il a inventé une position effroyablement gênante et qui doit faire le plus grand plaisir aux trinités, aux quadrinités et aux quinquinités de l'Olympe indou.

Eh bien! s'il se tue, on l'enterra, quoi! Je te dis, Vauberger, que ça t'aurait fendu le coeur si tu l'avais vu, comme je l'ai vu ce matin, avaler sa carafe d'eau claire pour déjeuner. Songe donc, Vauberger, manquer de feu et de pain! un garçon qui a été élevé dans des fourrures et nourri toute sa vie avec du blanc-manger!

Amen, dit le vieillard en frappant avec son bâton sur le plancher de la cabane. Depuis la mort de sa fille, Iérémeï, de tout temps peu communicatif, était devenu de plus en plus insociable; il maigrissait tous les jours et semblait se dessécher. Un beau matin d'hiver, on le trouva mort sur son poêle dans sa cabane. Cette mort n'étonna personne: on l'enterra, et tout fut dit.

Un touriste canadien, M. Paul Kane, dont la relation a été élégamment traduite par M. Edouard Delessert, rapporte la tragédie suivante: Casanov (chef chinouk) perdit son fils unique et l'enterra dans l'enceinte du fort. Il était mort de consomption, maladie très-commune chez les Indiens et qui vient sans doute de ce qu'ils sont constamment exposés aux vicissitudes des saisons. La bière fut faite assez grande pour contenir tous les objets supposés nécessaires pour son confort dans le monde des esprits. Le chapelain du fort fit la cérémonie habituelle; sur la tombe, et Casanov rentra dans sa case , le soir même, il attenta

Le frère de Mac-Gregor fut du petit nombre de ceux qui périrent dans l'action. On l'enterra près du champ de bataille et la place est marquée par une pierre grossière appelée la Pierre grise de Mac-Gregor. Sir Humphrey Colquhoun, étant bien monté, se sauva dans le château de Banochar ou Benechra.