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«Bénis soient les dieux, ma douce fille, lui dit son père Joël, le brenn de la tribu de Karnak, bénis soient les dieux, ma douce fille, puisque te voil

Or donc, moi, Scanvoch, pour obéir aux volontés de notre aïeul Joël, le brenn de la tribu de Karnak, j'ai écrit ce récit pour toi, mon fils Aëlguen, dans notre maison, située près des pierres sacrées de la forêt de Karnak.

Nouveaux Détails sur le grand Temple de Karnak. Nous séjournâmes un jour

Plus que tu ne le penses... Ton père se nommait Karadeuk. D'où sais-tu cela? Le père de ton père se nommait Jocelyn... s'il vit encore en Bretagne avec son fils aîné Kervan et sa fille Roselyk, il habite sa maison près des pierres sacrées de Karnak... Qui t'a dit...

Il y a près de quarante ans, on craignit en Bretagne une descente des insulaires d'Angleterre: plusieurs légions, parmi lesquelles se trouvait celle de mon père, furent envoyées dans ce pays. Pendant plusieurs mois, il tint garnison dans la ville de Vannes, non loin de Karnak, le berceau de notre famille. Ralf, s'étant fait lire par un ami les récits de nos ancêtres, alla visiter avec un pieux respect le champ de bataille de Vannes, les pierres sacrées de Karnak, et les terres dont nous avions été, du temps de César, dépouillés par la conquête. Ces terres étaient au pouvoir d'une famille romaine; des colons, fils de Gaulois Bretons de notre ancienne tribu, autrefois réduits

Les petites gens vivaient dans de vraies huttes qui, pour être bâties en briques, ne valaient guère mieux que les cabanes des fellahs. A Karnak, dans la ville pharaonique,

Moi, Kervan, fils de Jocelyn, mort sept ans après m'avoir légué cette légende, j'y joins les récits suivants; ils m'ont été rapportés ici dans notre maison, près Karnak, par Ronan, l'un des fils de mon frère Karadeuk, qui s'en était allé, il y a longues années, courir la Bagaudie, l'an qui suivit la mort du roi Clovis... Ces récits contiennent les aventures de mon frère Karadeuk et de ses deux fils Loysyk et Ronan; ils ont été écrits par Ronan dans la première ardeur de sa jeunesse sous une forme qui n'est point celle des autres récits de cette chronique.

Le fleuve séparait la ville des vivants, bâtie sur la rive droite, de la cité des morts. Des édifices de la première, il ne reste que les temples de Louqsor et de Karnak, les plus imposantes reliques de toute l'

Dans la salle hypostyle de Karnak les colonnes

Ma mère, hier vous m'avez dit: Nous manquons depuis deux jours de venaison... Le temps est propice; je vais tâcher d'abattre un daim dans la forêt de Karnak: la chasse peut être longue, j'emporte des provisions dans mon bissac. Non, Karadeuk, vous n'irez point aujourd'hui