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Un quatrième kakémono, de Korin, dont le fac-similé réduit, a paru dans LE JAPON de Bing, fait jaillir sur la pâleur fauve du fond, comme un éventail de lames vertes, des iris blancs et bleus, enlevés avec une crânerie de pinceau, qu'on ne trouve dans aucune fleur d'Europe: de l'aquarelle qui a l'aspect solide et plâtreux d'une peinture

Le lendemain, quand il se lève, quelle n'est pas sa colère de voir un des objets auquel il attachait du prix, rongé par ces dents qui ne savent rien épargner; tantôt c'est un Kakemono qu'il destinait comme cadeau

Comme pendant, en face, au-dessus d'un divan pour les apartés des causeurs, recouvert d'une robe de femme chinoise, entre des rangées d'assiettes coquille d'œuf, un kakémono brodé, une gigantesque pivoine s'enlève, du milieu de glycines blanches, avec un relief énorme.

Le second kakémono, de Gankou, figure un tigre, mais un de ces tigres un peu fantastiques, comme les imaginent les artistes d'un pays, il n'y en a pas. Le féroce, dans un déboulement, ventre

Le premier kakémono, d'O Kio représente des petits chiens, lippus, mafflus, rhomboïdaux, dont l'un dort, la tête posée sur le dos de l'autre, dessinés d'un pinceau courant dans un lavis d'encre de Chine, mêlé d'un peu de couleur rousse sur les chiens, d'un peu de couleur verdâtre sur une plante herbacée.

Le troisième kakémono, qui est d'un rival de Sosen, de Ounkei, peintre peu connu en Europe, détache du tronc d'un arbre, une singesse et son petit, dont les têtes, comme lavées d'une eau de sanguine sur les fines linéatures, rappellent les dessins aux trois crayons de Watteau.