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Depuis l'échec des négociations de Londres et la reprise des hostilités, ce suprême assaut se préparait. Alors que l'artillerie répartie sur les autres secteurs était relativement faible, on avait accumulé, contre Tash-Tabia, Aïvas-Baba-Tabia et Aïdjiolou-Tabia, ces 88 pièces de campagne et ces 12 pièces de siège que je viens de dire, et qui, au moment voulu, accablant de leurs feux croisés ces trois forts disposés sur un éperon du terrain dominant la plaine, allaient les écraser de la plus effroyable façon. Et, chose merveilleuse, révélatrice des lacunes, des faiblesses de la défense, le général Ivanof put amener la cette force écrasante, l'accumuler en deux groupes,

Alors, je ne vous connais pas! lui répondis-je. Nous sommes tous sous les ordres du général Ivanof, répliqua-t-il. C'est vrai, mais cela ne me garantit pas que vous soyez en effet officier. J'ai besoin, pour en être sûr, de pièces d'identité, d'un ordre me commandant de vous confier la personne du pacha. Il n'insista pas et repartit.

Dans la nuit, nous recevions du général Ivanof l'ordre d'attaquer

Le général Ivanof n'avait pas attendu que l'investissement fût achevé pour tenter des attaques brusquées sur plusieurs ouvrages de la défense, ceux des secteurs ouest et sud, qui sont les plus primitifs et les moins bien armés. Le 7 novembre, la 8e division s'emparait, après un combat de quelques heures, des retranchements de Kartal-Tépé, au sud du faubourg de Karagatch. Du côté ouest, il semble que les alliés aient été moins heureux et qu'après avoir occupé la position de Papas-Tépé ils en aient été chassés par un retour offensif de la garnison d'Andrinople. Jusqu'

De même, diverses versions ont circulé touchant les conditions dans lesquelles Choukri pacha se rendit au général Ivanof: la photographie que nous reproduisons ici, document précieux, émouvant, représente la première entrevue entre l'héroïque vaincu et le général victorieux, montre dans sa simplicité ce dernier épisode du drame.

Enfin, Choukri pacha arriva, impassible, impénétrable, sa figure basanée, plus sombre d'être frangée d'une barbe d'argent. Il était sans armes. L'entrevue fut brève, courtoise de la part du général Ivanof, mais sans cordialité, certes. Les deux adversaires de la veille s'exprimèrent en quelques mots concis leur mutuelle estime, leur admiration, peut-être. Ils ne pouvaient aller plus loin.

Cyrille et Ivanof, qui siégeaient au «comité exécutif», ne purent jamais dompter ce fauve. Il dominait par la terreur. Il allait et venait par les coursives sur le pont, dans les batteries; toujours furieux, frénétique, le revolver au poing, sans cesse menaçant. Tous tremblaient

Cyrille et Ivanof apportèrent aux révoltés un concours un peu intelligent qui leur faisait grandement défaut. A peine arrivés

A notre sortie, un autre officier bulgare, un capitaine, cette fois, se présentait. A son tour, il nous dit qu'il avait ordre d'amener Choukri pacha au général Ivanof. Comme, pas plus que le premier, il n'était en possession d'un ordre écrit quelconque, nous nous refusâmes catégoriquement

Les forces qui composaient l'armée d'investissement la IIe armée bulgare comprenaient, sous le commandement suprême du général Ivanof, assisté du général Vasof, commandant le secteur de l'est, et du général Kirkof, chargé du secteur sud, deux divisions bulgares, plus les deux divisions serbes du Danube et de Timok, commandées par le général Stepan Stepanovitch, auxquelles avait été dévolu le secteur ouest. Et ces 40.000 hommes avaient