United States or France ? Vote for the TOP Country of the Week !


18 septembre 1816. «Hier, 17 septembre, je suis parti avec M. Hobhouse pour une excursion dans les montagnes. 17 septembre.

»Hobhouse m'a conté mille anecdotes de Napoléon, toutes vraies et excellentes; cet Hobhouse est le plus divertissant compagnon que je connaisse, et un fort bel homme, par-dessus le marché.

»Je ne connais, de la querelle de M. Hobhouse avec la Quarterly Review, que l'article lui-même, qui certainement est assez dur; mais je suis aussi d'avis qu'il eût mieux valu ne pas répondre, surtout après que M. W * W *, qui ne vous tourmentera plus, vous avait déj

»J'ai eu dernièrement des nouvelles en fait de littératoure, ainsi que j'ai entendu prononcer ce mot une fois par l'éditeur du Monthly. J'ai appris que W. W. a publié et répondu aux attaques du Quarterly, dans la Chronique du savant Perry. J'ai lu ses poésies l'automne dernier, et entr'autres j'y ai trouvé une épitaphe sur son boule-dogue, et une autre sur moi-même; mais je prends la liberté de l'assurer (comme l'astrologue Partridge), que non-seulement je suis encore vivant, mais même que je l'étais au moment il la composa...................... ... Hobhouse, aussi,

Ravenne, 25 mai 1821. «Depuis quelques semaines, je n'ai pas reçu une ligne de vous. Vous êtes un coquin!!! Sans deux lettres de Douglas Kinnaird, j'aurais été aussi ignorant que vous êtes négligent. »Eh bien! j'apprends que Bowles a maltraité Hobhouse! Si cela est vrai, il a rompu la trève, comme le successeur de Murillo, et je le traiterai comme Cochrane traita Esmeralda.

»Je vous envoie une note au sujet de Parisina, que M. Hobhouse vous habillera. C'est un extrait de quelques particularités de l'histoire de Ferrare. »J'espère que vous avez eu quelques attentions pour Missiaglia, car les Anglais ont en ce moment la réputation de négliger les Italiens, et je me flatte que vous vous justifierez de ce reproche. »Votre,

Ce journal est terminé par le passage suivant qui est plein de mélancolie. «J'ai été fort heureux, quant au tems, dans ce petit voyage de treize jours; heureux aussi en compagnon, ayant avec moi M. Hobhouse; heureux dans tous nos projets, et exempts même de ces petits accidens et de ces retards qui rendent souvent les voyages désagréables dans des pays moins sauvages. Je suis un amant de la nature et un admirateur de la beauté; je puis supporter la fatigue et rire des privations, et j'ai vu quelques-uns des sites les plus majestueux du monde. Mais au milieu de tout ceci, des souvenirs amers, et surtout celui plus récent encore de chagrins domestiques, qui doit m'accompagner jusqu'

»P. S. Faites-moi savoir ce que M. Hobhouse et vous avez décidé sur les deux lettres en prose et leur publication.

Lowe continua cette enfantine affectation avec une fidélité scrupuleuse. Hobhouse envoya

Peu de tems après l'arrivée de ses amis, MM. Hobhouse et S. Davies, il partit avec le premier, comme nous l'avons déj