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Fréquemment, les portiques bas reposent sur d'épaisses colonnes renflées, d'un aspect étrange et qui ne sont pas sans rappeler les formes hindoues.

Les femmes Hindoues sortent librement pour leurs dévotions, leurs affaires et les besoins de leur maison; par exemple, pour quérir de l'eau aux fontaines publiques; et, bien que toute intimité avec les hommes leur soit interdite, elles peuvent, néanmoins, sans se compromettre, converser avec ceux qui viennent dans leur maison comme connaissances et amis.

Si les Chinois se contentent de quelques sapèques dans son pays, c'est qu'il ne peut pas faire autrement. Mais dans son pays, dès qu'il peut obtenir davantage, il ne s'en contente plus. Les bases fondamentales des sociétés hindoues et chinoises sont les mêmes que les nôtres. On y observe, comme chez nous, la plus grande variété des fortunes. En Chine, aux Indes, comme en Europe, il y a des millionnaires et des mendiants. En Chine, comme en Europe, les hommes travaillent jour et nuit pour acquérir des richesses. Quelques-uns réussissent et amassent de grandes fortunes, d'autres ne réussissent pas, restent dans la médiocrité ou même dans la misère. Mais la poussée de bas en haut, l'ascension perpétuelle de la pauvreté

Cette porte, dont la figure 38, ci-contre, donne l'ensemble, n'est nullement byzantine, mais se rapproche beaucoup des formes persanes et hindoues.

Et puis, une légende de gloire s'était répandue touchant son étrange valeur dans les batailles: souvent, les légions hindoues l'avaient vue, au fort des plus ardentes mêlées, se dresser, toute radieuse et intrépide, fleurie de gouttes de sang, sur l'haodah lourd de pierreries de son éléphant de guerre et, insoucieuse, sous les pluies de javelots et de flèches, indiquer, d'un altier flamboiement de cimeterre, la victoire.

Il est souvent parlé, dans le Soutra, de la soeur de lait; cela prouve que, du temps de Vatsyayana, les dames Hindoues quelque peu aisées ne nourrissaient point elles-mêmes leurs enfants et que les soeurs de lait étaient élevées dans la maison. Il en était de même chez les Romains sous les Césars.