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Kate, en la voyant entrer, eut une secousse de surprise. Elle allait crier: «C'est ellequand Günther la saisit par le poignet et commanda violemment: Tais-toi!

«Pour le prince Otto, il est infiniment probable que son meurtrier n'est autre que le garde-chasse Günther. Les antécédents de cet ancien soldat sont irréprochables; mais il était dévoué corps et âme

A bien des choses... Pourquoi madame vit-elle toute seule et sans jamais sortir du parc? Pourquoi ne vient-il jamais le jour? Pourquoi... Günther l'interrompit brutalement: De quoi te mêles-tu? Tu aurais mieux fait de la garder pour toi, ton idée. Et, d'abord, elle ne serait pas venue

Les riches sont quelquefois bien durs pour les pauvres. Tout n'est pas pour le mieux dans la société, Günther. Oh! moi, madame, je n'en cherche pas si long. Il faut des riches et des pauvres, parce que ça s'est toujours vu, que ça se verra toujours et que ça ne cesserait que pour recommencer.

La vision de Frida pendue et tirant la langue, comme on voit les suppliciés sur les images, et, dans le même instant, le souvenir de sa grâce, de sa bonté, de la candeur avec laquelle elle défendait Kate et des douces phrases qu'elle disait: «Kate est sage... Il ne faut pas croire le mal, Günther... Vous êtes trop dur pour elleretournèrent le coeur de la fille, et ce cri lui échappa: Ce n'est pas vrai, sire!

Des récits traditionnels différant du poëme affirment positivement qu'ils furent atteints par les hommes d'Attila, que Walter mit tous les douze hors de combat. Le poëme les fait arriver sans encombre jusqu'aux bords du Rhin, ils tombent sous la main de brigands plus redoutables cent fois que les Huns, sous la main de Gunther et des guerriers franks. Un poisson du Danube donné par Walter

C'est meilleur que de croire le mal, et ça ne coûte pas plus cher. Et, parfois, on fait naître le bien en y croyant... Allez, Kate, et ne soyez pas trop longtemps tout de même. Quand la fille fut sortie: Vous êtes trop bonne pour elle, madame, dit le vieux. Et vous, un peu grondeur et défiant, Günther.

Un matin donc, une voiture conduisit au palais Günther et Kate. Les gendarmes les quittèrent

Pendant la moitié du jour, la bataille dura sans se ralentir; le sang ruisselait sur la terre comme une rivière; enfin Gunther et Hagen, accablés par le nombre, sont faits prisonniers et enfermés tous les deux dans un cachot. Attila allait de l'un

Un jour qu'il se sentait en humeur de guerroyer, Attila, dit le poëme, fait plier ses tentes et marche du côté du Rhin. Ghibic, roi des Franks, célébrait alors dans Worms, sa capitale, la naissance de son fils aîné Gunther; tout le pays était en liesse, quand le bruit se répand subitement qu'une armée «nombreuse comme les étoiles du ciel, serrée comme les grains de sable du Rhin», approche en remontant le Danube. Les chefs des Franks courent au conseil. «Que faut-il faire? demande le roi. Proposer la paix, répondent ceux-ci d'une commune voix. Si l'ennemi nous tend la main, nous la lui tendrons aussi; nous lui donnerons des otages et nous lui paierons tribut. Mieux vaut céder au roi des Huns que de risquer d'un seul coup nos vies, notre patrie, nos enfants et nos femmesGhibic va donc au-devant d'Attila avec de riches cadeaux et un otage de noble sang; comme il ne peut offrir son propre fils Gunther, «qui a besoin de sa mère», dit le poëte, son choix s'est porté sur Hagen, adolescent de haute lignée, sorti de la vraie race des Troyens. Le roi des Huns accepte les présents et l'otage, accorde la paix et se dirige