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À n'envisager ici que l'architecture européenne chrétienne, cette soeur puînée des grandes maçonneries de l'Orient, elle apparaît aux yeux comme une immense formation divisée en trois zones bien tranchées qui se superposent: la zone romane , la zone gothique, la zone de la renaissance, que nous appellerions volontiers gréco-romaine. La couche romane, qui est la plus ancienne et la plus profonde, est occupée par le plein cintre, qui reparaît porté par la colonne grecque dans la couche moderne et supérieure de la renaissance. L'ogive est entre deux. Les édifices qui appartiennent exclusivement

Il nous a conservé encore et transmis directement la tradition littéraire gréco-romaine. Ceci est plus connu et moins contesté. On sait maintenant qu'il n'y eut pas de «renaissance» au XVe siècle; on sait que, en aucun moment des siècles antérieurs, les lettres latines n'avaient cessé d'être cultivées et que Virgile fut, durant tout le moyen âge, en Italie, en France, en Allemagne, non seulement lu, mais vénéré, non seulement commenté, mais imité. Le rôle des humanistes fut cependant important: de même que les protestants voulaient purger le christianisme de son élément païen, les humanistes voulurent éliminer de la littérature tous les éléments chrétiens. Les uns et les autres réussirent; mais, tandis que la tradition littéraire a été renouée par le romantisme, la tradition religieuse est restée brisée. La littérature n'est demeurée que pendant trois siècles étrangère

Notre lutte moderne, ou lutte gréco-romaine, a beaucoup de points de ressemblance avec celle des anciens. Pendant les siècles derniers elle ne fut pas très en faveur en France, si ce n'est en Bretagne, dont les lutteurs furent longtemps célèbres comme champions de poids léger; les Allemands par contre et les Suisses se distinguaient dans les poids lourds. Ce n'est guère qu'au XIXe siècle que l'opinion s'intéressa