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Au début de l'action, Phaon, amant aimé de Glycère, commence

Mais M. Gabriel de Chénier déclara, d'un ton qui n'admettait pas de réplique, qu'il n'y avait ni Bonneuil, ni d'Arcy, ni Cosway, ni Fleury, qu'Amélie, Rose et Glycère n'avaient jamais existé, et que c'était un bien bon jeune homme que l'oncle dont il était le neveu. «De ce qu'André, dit-il, put quelquefois prendre part aux soupers se trouvaient réunis ses jeunes amis de collège et des beautés faciles, de ce que dans ses élégies, on trouve la trace de ces exceptions

en brise l'élan et l'assombrit en pure perte. Le serment des conjurés, plein de décision et de hardiesse, produit encore un excellent et vigoureux effet. Le duo entre Pythéas et Glycère offre de piquants détails; on y retrouve un charmant roucoulement de flûte vers la fin. Ce duo devrait être, ce me semble, compris par les exécutants d'une tout autre façon. Qu'elle qu'ait pu être la licence des mœurs antiques, il est probable qu'on mettait plus de mystère dans les transactions de la nature de celle dont il s'agit ici. Et quand une femme se vendait

Phaon survient et rend la scène plus violente. Glycère, non contente du sacrifice qu'elle vient d'imposer

Glycère et les conjurés arrivent. Sapho paraît derrière un rocher. Elle vient assister

Pourquoi n'a-t-on pu enlever aussi la scène du deuxième entre Sapho et Glycère? Les deux cantatrices, les auditeurs et l'auteur, tout le monde y eût gagné. Mais l'élément dramatique, le nœud de la pièce, eussent alors disparu....

Mais l'introduction religieuse est restée, on a conservé l'hymne: O puissant Jupiter! l'improvisation sur Héro et Léandre, les gracieux couplets: Puis-je oublier, ô ma Glycère! le grand et beau finale: Merci, Vénus! le chant si voluptueusement languissant de Sapho: Aimons, mes sœurs! et tout le troisième acte. Et c'est assez.

Mais, avant de feuilleter ses chansons, citons, pour caractériser son génie naissant, une ou deux de ces poésies sérieuses et élégiaques qui tombaient de son âme sensible, plus printanières et plus irréfléchies peut-être que ses couplets. Un studieux et pieux commentateur de Béranger, M. Fournier, nous a restauré hier une de ces ébauches dans le Courrier de Paris; nous ne la connaissions pas; elle gisait enfouie dans les éphémérides poétiques des premières années de l'Empire. Elle est intitulée Glycère. Je voudrais bien qu'elle fût une page de mes propres Méditations. Cette élégie est aussi grecque et plus grecque encore que française; elle ressemble

Tous alors se dispersent. Survient Glycère, furieuse de l'abandon de Phaon. Rien ne lui coûtera pour s'en venger. Pythéas, resté seul plus qu'

Quoiqu'ils soient, ma Glycère, Presqu'aussi durs qu'un rocher, Parfois