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Et Narcisse Gelin commença de trouver le pauvre M. Hochard un être assez poétique, il le regretta même: il le poétisa aux dépens du gros élève de Curtius; il poétisa tout, jusqu'aux matelots Bas-Normands, qu'il avait maudits: eux si roses, eux si frais, eux si bonnes gens; il vit une belle opposition entre ces hommes si simples et les périls continuels qui les assiégeaient. Cette bonhomie au milieu de la tempête lui parut sublime; cette goëlette transportant tout

Des choses surprenantes que vit Narcisse Gelin dans l'entrepont de la goëlette.

À cette pensée de navire, Narcisse Gelin, qui n'avait jamais vu de navire, tressaillit. Tout-

Comment Narcisse Gelin eut l'idée de voir la mer, en regardant un moulin

Prenant alors l'air aussi digne que possible, tempéré pourtant par une nuance de soumission, Narcisse Gelin commença en ces termes: Je dois éclairer votre conscience, monsieur l'officier; parti comme passager

Le coussin arrêta le passage de Narcisse Gelin sur la Cauchoise. Narcisse eût voulu un nom peut-être plus poétique, plus sonore. La Cauchoise lui paraissait assez vulgaire; pourtant il se décida, le choix étant très-borné dans ce port militaire. Mais en vérité, il eût bien donné dix louis de plus pour que la goëlette se fût nommée l'Ondine ou la Phebé.

Narcisse Gelin et Benard restaient tous deux seuls: Après vous lui dit Benard en ricanant; et quand le fils du mercier se sentit guinder au bout du cordage, les derniers mots qu'il entendit furent: Ah! je suis un intrigant! Plaignez le poète. C'est tout de même vexant de manquer une aussi belle affaire murmurait Benard

Narcisse Gelin ne dormait pas, Narcisse Gelin invoquait je ne dirai pas Dieu, car Narcisse avait reçu une éducation libérale, et le beau de l'éducation libérale est de ne pas croire en Dieu; mais Narcisse invoquait Apollon et les muses. Le bon jeune homme croyait aux muses.... Muses disait-il envoyez-moi, s'il vous plaît, un événement, une tempête, un naufrage, quoi que ce soit... mais de la poésie, pour Dieu de la poésie! J'ai quitté la boutique paternelle, mon foyer domestique, Paris, mon département, mon pays! la France! ma belle France, et vous comprenez bien, muses, que ce n'est pas pour vivre avec des commerçants, entendre parler commerce et marchés, poivre et sucre... que l'on s'abandonne aux caprices des flots, au souffle dévorant de la tempête.... Ainsi de la poésie... ô muses!... quelque chose de tranché, de heurté, de bizarre, de terrible, s'il vous plaît. Je ne sais si les muses l'entendirent; mais il se passa tout-

Mais le vieux bey a dit: «Je suis trop vieux pour courirIl lui a dit: «Sauve Alexis, c'est le dernier de son nomEt Thérèse Gelin a dit: «Oui, je le sauveraiLes beys de l'est ont vu Jean Veliko. «À mortont-ils crié: leurs balles ont volé toutes

Ici une grimace significative de Narcisse Gelin. Nous sommes au mois de juillet, nous appareillerons avec une brise faite, nous gagnons les Açores, les vents alizés, et nous arrivons