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LE ROI. Allons, crions donc tous: saint Cupidon! et en plaine, soldats! BIRON. Avancez vos étendards et fondons sur elles; allons, chaude mêlée, renversons-les; mais prenez garde avant tout, dans ce choc, de rencontrer un soleil, grâce

Laissons-les, mes amis: maman m'a dit plus d'une fois que les enfants devraient se réunir pour faire du bien. Fondons aussi un club, nous, un club bon, utile, intéressant, que nous appellerons le Club de la Charité: tous ceux qui voudront en être seront les bienvenus. Ah! Ah! ah! vous demandez la charité, alors? ARMAND, vivement.

HERMINIE, avec autorité. Ma toute belle, c'est justement pour empêcher ces jeux de chevaux échappés que nous fondons «le Beau mondeil vient ici un tas d'enfants qui déconsidèrent les Tuileries. Cela est choquant; cela ne peut durer.

On vous salarie en raison Ou triste état de nos finances; Mais c'est sur le tour du bâton Que nous fondons nos espérances. Lecointe sait le produit net Du poste brillant qu'il vous donne, Et chacun de nous se promet De vous mesurer

Les Français sont nos ennemis; cela posé, je dis seulement: celui qui parle avec la langue d'un ennemi, peut-il être un bon conseiller ou non? TOUT LE PEUPLE. Non, non, et nous voulons avoir sa tête. WILLIAM STAFFORD. Allons, puisque les paroles de douceur n'y peuvent rien, fondons sur eux avec l'armée du roi.

On peut rendre plus saisissable l'évidence sur laquelle nous nous fondons, en empruntant la forme consacrée de l'argument ontologique. Ce syllogisme concluait ainsi: «L'idée de Dieu est celle de l'être parfait; or la perfection implique l'existence réelle: donc l'idée de Dieu implique l'existence réelle de son objetNous tournons la prémisse du raisonnement au profit de la liberté et nous disons: «L'idée de Dieu est celle de l'être parfait; mais un être parfait de sa nature le serait moins que celui qui se donnerait librement la même perfection; l'idée d'un être parfait de sa nature est donc une idée abstraite et contradictoire; l'être parfait de sa nature serait encore imparfait; l'être parfait est celui qui se donne lui-même la perfection qu'il possède, c'est-

Et toi-même, est-ce pas? es touchée D'un si dolent tableau, bien que ton oeil frivole S'amuse au papillon de pourpre et d'or qui vole Au-dessus des débris dont l'allée est jonchée. Calmes dans le demi-jour Que les branches hautes font, Pénétrons bien notre amour De ce silence profond. Fondons nos âmes, nos coeurs Et nos sens extasiés, Parmi les vagues langueurs Des pins et des arbousiers.

Elle est le seul, le vrai bonheur. Quelques sueurs et des contractions la précèdent qu'il faut couvrir d'un voile, mais aussitôt nous nous fondons dans l'Être, nous sommes soustraits aux douleurs du corps; plus d'angoisse, plus de désir, nous nous absorbons dans l'un, dans le tout....» Sa voix était un peu cadencée et, par moments, s'envolait avec l'ampleur d'un hymne aux dieux.

Messieurs, rentrons dans le principe: le respect de la propriété. Constatons la propriété littéraire, mais, en même temps, fondons le domaine public. Allons plus loin. Agrandissons-le. Que la loi donne