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(Faustina tombe sur le canapé, en proie

Elle aurait grand tort! Je le lui ai dit, elle peut être bien tranquille. Je ne suis ni très-jalouse ni très-tranquille; mais je baisse pavillon devant madame. Je vous prie de rester, madame... Je te prie de l'appeler mademoiselle, et non pas madame. FAUSTINA, riant aux éclats. Ah bien! oui, mademoiselle! Tu serais un grand sot, mon pauvre Astolphe!...

Il m'a enlevé la Faustina: je n'en ai pas regret; mais il l'a fait pour m'humilier, et tout prétexte m'eût été bon pour le châtier. Celui-l

Quand donc le beau Narcisse daignera-t-il détourner la tête de son miroir? ASTOLPHE, sans se retourner. Ah! c'est toi, petite? Quittez ce ton protecteur, et regardez-moi. ASTOLPHE, sans se retourner. Que me veux-tu? Je suis pressé. FAUSTINA, le tirant par le bras. Mais, vraiment, vous ne reconnaissez pas ma voix, Astolphe? Votre miroir vous absorbe!

Dis-lui un mot de consolation. Tu l'avais amenée ici pour le plaisir, et non pour l'outrage. Madame, remettez-vous; tout ceci est une plaisanterie. Je ne suis point une femme; je suis le cousin d'Astolphe. Mon bon Gabriel, tu es vraiment fou! FAUSTINA, reprenant lentement ses esprits.

Vive Dieu! c'est Antonio avec la Faustina. Ils viennent nous chercher. Mets vite ton masque!... ton manteau!... un manteau de satin rose doublé de cygne! c'est charmant!... Allons, cher Gabriel!

Faustina! Sans doute c'est le nom de sa maîtresse. Il rêve

Ma petite Faustina, si tu veux parler, je t'en donnerai une robe tout entière; et, comme tu es toujours jolie comme un ange, cela te siéra

Si tu t'en vas, je m'en vais aussi; et ce serait dommage, j'ai si bonne envie de me divertir! Alors je reste. L'aimable enfant! Antonio les accoste dans la galerie. Après quelques mots échangés, Astolphe passe le bras de Gabriel sous celui d'Antonio et les suit avec Faustina en se moquant. Toujours chez Ludovic. Un jardin; illumination dans le fond.

Ainsi il y en a sept pour le signor Senesino, huit pour la signora Faustina, sept pour la signora Cuzzoni, quatre pour le signor Baldi, deux pour le signor Boschi, et un seulement pour la pauvre signora Dotti et pour le malheureux signor Palmerini, qui venaient sans doute tous les deux dire leur petite affaire, pour donner aux dieux et aux déesses, si richement partagés, le temps de respirer.