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Quand il se réveilla, le lendemain, sa première pensée fut pour cette question d'air qui était, pour lui, une question de vie ou de mort, et qui l'avait tourmenté pendant son sommeil. Il se munit d'éprouvettes dans lesquelles il avait fait le vide, endossa son respirole, et descendit la colline mercurienne.

Si encore André s'était affiché d'une façon quelconque; mais, depuis son mariage surtout, il travaillait avec patience, enfermé dans sa besogne. Il serra ses affaires, endossa son paletot, tandis que sans parler, dans le grand silence du ministère terrifié, Crescent et Malurus le regardaient.

Vivement, il enfila un pantalon de nankin, endossa un veston de tissu très léger et compléta cette transformation en se coiffant d'un chapeau de paille de genre dit Panama. Tu as l'air d'aller pêcher

Le major, espérant l'y rencontrer pour lui faire part de tout ce qu'il venait d'apprendre, endossa son uniforme et se rendit au palais dans l'espérance d'y rencontrer mistress Osborne; mais malheureusement elle n'y vint point, et, en rentrant chez lui, il s'assura que l'appartement des Sedley était plongé dans l'obscurité.

Je m'en passerai, fit le petit Hans. Il endossa son grand manteau de fourrure et sa chaude casquette rouge, noua son cache-nez autour de sa gorge et partit.

J'étais assez hôte pour avoir peur qu'il n'eût quelque chose de gelé, les pattes de derrière ou de devant! Il ne sera pas perclus pour cette fois. Rhabille-toi. L'enfant endossa la chemise, et l'homme lui passa, pardessus, la jaquette de tricot. A présent...

Heurtebize, dit mon guide, voici un monsieur qui voudrait parler au Conservateur pour une affaire personnelle. Le nommé Heurtebize endossa vivement sa redingote, et s'avançant vers moi: Si monsieur veut bien me donner sa carte...

Gwynplaine, sans plus de bruit qu'un glissement, monta le marchepied de la baraque, y entra, décrocha son capingot et son esclavine, endossa le capingot, mit l'esclavine

Il proposa ensuite de terminer la soirée paisiblement dans son domicile qui était tout près, rue Saint-Martin. À peine entré, il endossa une manière de camisole en indienne et fit les honneurs de son appartement.

Ces préparatifs terminés, Fritz endossa sur le rivage son vêtement de pêche. Des pantalons de boyaux de chiens de mer, le justaucorps dont nous avons fait la description, et une cape groënlandaise formaient son armure défensive. Les armes offensives étaient les deux rames et les deux harpons, qu'il agitait fièrement en l'air, comme le trident du dieu des mers, en prononçant le fameux quos ego! de Virgile. Bientôt il prit place dans le caïak, et s'éloigna du bord pour la chasse aventureuse. Un formidable cri de triomphe annonça le départ du bâtiment, et nous entendîmes Fritz entonner avec assurance le chant du pêcheur groënlandais. La bonne mère, en dépit de toutes ses inquiétudes, ne pouvait s'empêcher de rire, et de l'aspect grotesque de notre embarcation, et du bizarre accoutrement de notre chevalier de mer. Quant