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Rome sent plus mauvais sous Vitellius que sous Sylla. Sous Claude et sous Domitien, il y a une difformité de bassesse correspondante

«Le baiser était une manière de saluer très ordinaire dans toute l'antiquité, raconte Voltaire , Plutarque rapporte que les conjurés avant de tuer César, lui baisèrent le visage, la main et la poitrine. Tacite dit que lorsque son beau-père Agricola revint de Rome, Domitien le reçut avec un froid baiser, ne lui dit rien et le laissa confondu dans la foule. L'inférieur qui ne pouvait parvenir

Domitien rendait la justice avec assiduité et intelligence; souvent il cassait les sentences des centumvirs, suspects d'être influencés par l'intrigue . Adrien consultait sur les causes soumises

Ici, nous sommes sur la place Palatine. Vous voyez, la façade du palais de Domitien est

8 L'empereur César Domitien Auguste Germanicus, voulant surprendre les Germains, qui étaient en révolte, et n'ignorant pas que ces peuples feraient de plus grands préparatifs de défense, s'ils se doutaient de l'approche d'un si grand capitaine, partit sous le prétexte de régler le cens dans les Gaules. Et bientôt, fondant

Toute la bande hurla de joie: elle avait deux victimes au lieu d'une, et, au lieu d'une victime insensible inerte, aux trois quarts morte, une victime vivante, sur laquelle on pouvait épuiser les tortures en les prolongeant. Domitien disait en parlant des chrétiens: «Ce n'est point assez qu'ils meurent; il faut qu'ils se sentent mourir

Bien que Plutarque dise: le tyran n'envieillit guère, Rome, sous Sylla comme sous Domitien, se résignait et mettait volontiers de l'eau dans son vin. Le Tibre était un Léthé, s'il faut en croire l'éloge un peu doctrinaire qu'en faisait Varus Vibiscus: Contra Gracchos Tiberim habemus. Bibere Tiberim, id est seditionem oblivisci.

Le peuple de Naples est, sous ce rapport, le digne héritier de Domitien. En une seconde, le duc della Torre fut lié sur le corps de son frère aux poutres du bûcher. Don Clemente rouvrit les yeux. Il avait senti sur ses lèvres la pression d'une bouche amie. Il reconnut le duc. Déj

La femme danse seule et ne danse pas pour son plaisir. Elle n'est que l'esclave obéissante dont la tâche est de réveiller les désirs du maître. Sa danse n'est qu'une série d'attitudes lascives. Ce qu'elle traduit, il serait impossible de le dire honnêtement. Ce n'est, en réalité, qu'un chapitre de l'ars amatoria ou de ce que l'empereur Domitien appelait du nom de clinopalè, une entrée, un préambule, une exhortation patiente aux vieux pachas fatigués. Elle est d'un caractère éminemment privé et intime. Elle peut, dans le cadre resserré et dans le demi-jour d'une chambre mauresque, intéresser par la souplesse des mouvements et par l'harmonie des lignes et des contours un curieux, un voluptueux, un artiste. Dans une baraque tout le monde entre pour vingt sous, elle devient tout bonnement un plaisir de collégiens vicieux, une excitation éhontée

Annales, I, 2. Ann., III, 66; XIII, 33; XIV, 18, etc... Suétone, Auguste, 67; Dion Cassius, LIV, 3, LVI, 25. Ann., IV, 6. Domitien, 8. Spartien, Adrien, 13. Pline, Epist., X, 28, 35, 47, 50, 52, 53, 63, 85.