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M. Dietrich,

Et elle lui jeta ses bras au cou en l'embrassant comme elle embrassait M. Dietrich quand elle voulait le vaincre. Elle ne pouvait pas ne pas réussir avec le marquis: il était déj

Vous êtes un observateur sévère, monsieur Dietrich, et je crains que mon tour d'être jugée avec cette impartialité écrasante ne vienne bientôt; cela me fait peur, je l'avoue, car je suis loin de me sentir parfaite.

«On est venu nous interrompre. On partait, car en somme on n'a pas dansé dix minutes, et, pour se débarrasser plus vite de la gaieté de ses amis, Césarine, qui, vous le voyez, était fort sérieuse, a promis que l'année prochaine on danserait tant qu'on voudrait chez elle. L'année prochaine! C'est dans quinze jours, s'écria M. Dietrich, qui m'avait écoutée avec émotion.

C'est, repris-je, mademoiselle de Nermont qui vous a parlé de mademoiselle Dietrich? » Non, c'est Paul, un jour qu'il avait été au bal la veille chez son papa. Il paraît que c'est des gens très-riches, et que la demoiselle avait des perles et des diamants peut-être pour des millions. » Ce qui était bien ridicule, n'est-ce pas? » Vous dites comme Paul: mais moi, je ne dis pas ça.

Bruxelles, Vaillant-Carmaime, 1891. Les Apparus dans mes chemins. Bruxelles, Lacomblez, 1891. Les Campagnes Hallucinées. Bruxelles, Deman, 1893. Almanach. Bruxelles, Dietrich, 1895. Les Villages Illusoires. Bruxelles, Deman, 1895. Poèmes: Les Bords de la Route, Les Flamandes, Les Moines. Paris, Mercure de France, 1895. Paris, Mercure de France, 1900. Les Villes Tentaculaires.

Il répondit par un vague sourire, sans qu'on sût s'il avait bien compris. Dubois l'emmena. M. Dietrich se glissa dans une pièce voisine de la chambre

Le père Karl Dietrich était un homme replet et jovial, tout l'opposé de son frère, qu'il respectait

Eh bien! me dit-il quand elle se fut tournée vers d'autres interlocuteurs, tu t'étais trompée, ma tante, et j'étais, moi, fort injuste. C'est une personne excellente et une femme de coeur. Parle-moi de ton mariage. Non, pas ici. J'irai vous voir ce soir. À l'hôtel Dietrich? Pourquoi non? Serez-vous dans votre appartement? Oui,

C'était tout ce que désirait Césarine, et Marguerite ne se méfiait pas; au contraire, elle souhaitait que la belle Dietrich, comme elle l'appelait, dissipât les préventions de Paul, afin de pouvoir l'aimer et la voir sans désobéissance. Puisque vous rendez notre explication plus facile, dit Césarine dès qu'elle fut seule avec Paul, elle sera plus nette et plus courte.