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Deux-ponts ont été jetés sur la Vistule: un

MM. Christian de Deux-Ponts. | Royal Deux-Ponts, Guillaume de Deux-Ponts en 2e | Le comte de Custine. | Saintonge. Le vicomte de Charlus. | M. de Sainte-Mesme ou Saint-Maime. | Soissonnais. Le vicomte de Noailles. | Le duc de Lauzun. | Légion de Lauzun. Le comte Arthur Dillon | Nadal, directeur du parc d'artillerie. Lazié, major Desandroins, commandant les ingénieurs.

De Custine et Guillaume de Deux-Ponts en second furent détachés avec les bataillons de grenadiers et de chasseurs de leurs deux brigades, et prirent position au bord de la mer. L'amiral Arbuthnot resta continuellement en vue de la côte jusqu'au 26 juillet; la nuit il mouillait

Les six bombes qui devaient donner le signal furent tirées vers onze heures, et les quatre cents hommes que commandait Guillaume de Deux-Ponts se mirent en marche dans le plus profond silence. À cent vingt pas environ de la redoute, ils furent aperçus par une sentinelle hessoise qui, du haut du parapet, cria en allemand Wer da? (Qui vive?). On ne répondit rien, mais on doubla le pas. Immédiatement l'ennemi fit feu. On ne lui répondit pas davantage, et les charpentiers qui marchaient en tête attaquèrent les abatis

Quelques jours suffirent pour tracer la première et la seconde parallèle. Deux redoutes arrêtaient les travaux des alliés. On décida de leur donner l'assaut. La Fayette avec une colonne de milices américaines fut chargé de s'emparer de celle de droite, tandis que Guillaume de Deux-Ponts montait

Le 26, le comte Guillaume de Deux-Ponts, chargé des détails du siège et de la capitulation que lui avait donnés par écrit M. de Rochambeau ainsi que du rapport qu'il avait été chercher auprès du comte de Grasse

M. de Rochambeau fit alors une reconnaissance de la ligne abandonnée. Il était accompagné de Guillaume de Deux-Ponts. À trois cents pas des redoutes, vers la ville, ils virent un ravin profond de vingt-cinq pieds qui n'était plus défendu, bien qu'il formât autour de la ville une circonvallation naturelle.

Dans ce moment, la convention apprenant les vexations commises par le duc de Deux-Ponts contre quelques sujets de sa dépendance, rendit, dans un élan d'enthousiasme, le décret suivant: «La convention nationale déclare qu'elle accordera secours et fraternité

[Note 186: G. de Deux-Ponts, dit le Vicomte; mais il est probable que ce poste important, qui donnait la supériorité sur de Lauzun, ne pouvait être confié qu'

Guillaume de Deux-Ponts faisait des reconnaissances sur tout le front des troupes et s'assurait que la droite des fortifications de l'ennemi était la partie la meilleure de leurs défenses.