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Oh! les minutes heureuses. Il comptera dans la vie du héros ce joli déjeuner en face de Sonia, presque sur ses genoux, dans un décor d'opérette: la place villageoise aux verts quinconces sous lesquels éclatent les dorures, les mousselines des Suissesses en costume se promenant deux

Exploitant, non sans habileté, ce penchant qu'on lui connaît pour nos moeurs, nos coutumes, pour toutes les choses d'Europe, on lui avait commandé, chez le bon faiseur de Londres, un uniforme qui, aux bottes près, de vraies bottes de général d'opérette, qui semblent empruntées au magasin de costumes des Variétés; au fez encore, intangible, irremplaçable, se rapprochait assez des uniformes du haut commandement de l'armée anglo-égyptienne. Ce n'était qu'un essai, qu'une tentative; mais, dans cette tenue, un lourd sabre de cavalerie

Bref, les Transatlantiques sont pleins de fragments de comédie sérieuse et quelquefois profonde. Par malheur ces fragments précieux sont noyés, emportés dans un flot tumultueux d'opérette. L'entrée de la tribu des Shaw dans le salon des Tiercé ressemble

Il y avait réception chez ma voisine, la cantatrice, jeune étoile d'opérette, fort en vogue pour mille raisons, parmi lesquelles il serait injuste de ne pas signaler sa verve ébouriffante dans le «parlé» des rôles.

Et je ne retrouvais nulle part ces accoutrements d'opérette, ces vêtements et ces coiffures dont s'esclaffe le boulevardier, quand il les rencontre au théâtre ou dans les pages de l'illustré comique de la semaine. A peu près partout le «haute forme» était avouable, la cravate sobre et de bon goût, l'habit proprement coupé.

Pour le Roy! Deuxième acte. En 1865. René de Mauréac, fils du grand marquis, rencontre une petite comédienne d'opérette, Chérie-Mignon. Il la poursuit d'un désir aveugle, irrésistible, plus fort que la volonté, la raison et l'honneur. La fille résiste. Elle a peur. Il finit pourtant par l'épouser.

Les chansons, dès qu'on eut porté la santé des mariés, commencèrent. Un avoué chanta Mimi Pinson. Le cousin, un refrain d'opérette

La littérature dramatique, notamment, traverse en ce moment une crise de pessimisme et d'outrance, qui ne respecte rien de ce que nos pères ont respecté. Nos salles de spectacle retentissent des âpres discussions du féminisme. Le drame leur prête toute son aigreur, toute sa violence. Plus de comédie, plus de vaudeville ou d'opérette, sans un couplet sur les «droits de la femme». Avec un désintéressement admirable, nos auteurs dramatiques dénoncent les lois et combattent les conventions, dont la «douce victime» souffre sous le joug de l'homme. D'un «fait-divers» éclaté brusquement le détraquement passionnel de quelques névrosés, ils tirent des conclusions générales qui font frémir. Ils nous dépeignent les ménages contemporains sous de si sombres couleurs, ils nous montrent des maris si atroces ou si jobards, ils nous font un tableau si lamentable de ces pauvres femmes crispées qui, réduites