United States or South Africa ? Vote for the TOP Country of the Week !


Cette question, en introduisant un élément vil dans la conversation, eut l'air d'offenser ses sentiments. Il dit n'avoir jamais accepté d'argent de nobles étrangers, et suggéra un petit souvenir, une épingle de cravate en diamants, une tabatière en or, un petit rien de ce genre qui lui serait agréable et qui le ferait penser

Comme elle s'y prenait mal, la pauvre femme! Comme elle avait tort d'offenser son fils dans son amour! Déj

Ça revient au même, car je ne sais rien de pis que d'offenser sa mère... Mais quant

Il est facile d'y jeter une pierre; mais si elle est tombée jusqu'au fond, dites-moi donc, qui voudra la chercher? Gardez-vous d'offenser le solitaire. Mais si vous l'avez offensé, eh bien! tuez-le aussi! Ainsi parlait Zarathoustra. J'ai une question pour toi seul, mon frère. Je jette cette question comme une sonde dans ton âme, afin de connaître sa profondeur.

L'époux espérait que le respect les empêcherait de convoiter cette femme; mais elle, craignant d'offenser le Seigneur, brisa les liens de fleurs dont on l'avait enlacée, et tomba dans les bras de son époux en s'écriant: Je ne suis point une divinité, mais une esclave de Dieu, une créature périssable et faible, la femme et la soeur de cet homme.

Cette désinvolture acheva d'offenser l'avocat qui n'entendait point céder aux sollicitations, mais, par une contradiction bien humaine, ne se résignait pas non plus

Elle se tut et ne nia pas. Non qu'elle sentît qu'il était désormais inutile de mentir. Au contraire, elle avait l'habitude de nier l'évidence, et, certes, elle avait trop le sens des hommes pour ignorer qu'en amour il n'y a pas de mensonge si grossier qu'ils ne puissent croire s'ils en ont envie. Mais cette fois, contre sa nature et son habitude, elle ne mentit pas. Elle avait peur d'offenser le mort. Elle pensait que le renier ce serait lui faire tort, lui retrancher sa part, l'irriter. Elle se tut, craignant de le voir venir s'accouder

Adressez, dit Porthos, adressez. Parlez, fit Aramis. N'étiez-vous pas, messieurs, vous deux, dans les mousquetaires du feu roi? Oui, monsieur, et des meilleurs, s'il vous plaît, répliqua Porthos. C'est vrai: je dirais même les meilleurs de tous les soldats, messieurs, si je ne craignais d'offenser la mémoire de mon père. De votre père? s'écria Aramis. Savez-vous comment je me nomme?

Crains d'offenser les dieux, impie Zénothémis; les poètes leur sont chers. Les premières lois furent dictées en vers par les immortels eux-mêmes, et les oracles des dieux sont des poèmes. Les hymnes ont pour les oreilles célestes d'agréables sons. Qui ne sait que les poètes sont des devins et que rien ne leur est caché?

Il se disait encore: Si je croyais, je ne dirais pas cela. Je n'ai pas l'intention d'offenser Dieu. Ce n'est pas ma faute,